Lundi 1mars 10h00
Je me réveil.
Un rapide coup d’œil à mon environnement.
C’est une chambre banale, sûrement la mienne.
A coté de moi le lit est ouvert, je n’était pas seul ???
Je tente de remettre les choses en place.
Dimanche 29 Février 21h00
Oui c’est bien chez moi.
Je suis au téléphone avec une femme … Manu.
Elle doit passer car je lui ais demandé.
Apparemment elle était déjà venue plusieurs fois car elle connaissait le chemin.
Elle entre, c’est vraiment une femme magnifique…
Mais pourquoi l’avoir appelé ?
Dimanche 29 Février 17h00
Manu m’a laissé un message il faut que je la rappelle.
Après une bonne douche on ce sent comme neuf.
La douceur de l’eau chaude ruisselante apaise mes muscles tendus, et me plonge dans une agréable fatigue, comme si tout était semblable à du coton.
Je m’installe sur le sofa et me laisse aspirer par ce bien être chaleureux.
Manu avait due appeler juste après.
Qu’avais je fais pour être à ce point épuisé?
Dimanche 29 Février 13h00
Nous revenions de Grenoble
La porte du garage se relevait, c’est à ce moment que Pascalopoulos sortie des bras de Morphée. Nous rassemblons les quels que affaires que nous avions prévue pour le voyage, presque tout était là, étrange …
Nous nous installons confortablement pour prendre l’apéro et finir les provisions.
Pascalopoulos me quitte vers 16h00.
Il faut que je mette un peut d’ordre dans la voiture où une tornade semble avoir sévit.
Sur le tapis de sol gît une touffe de plume de canari.
Qui a mangé titi ?
Dimanche 29 Février 9h00
Il neige sur Voiron, la voiture en est légèrement recouverte.
Pierre, Aline, Pascalopoulos et moi-même commençons une bataille, il faut dire que de part chez nous la neige c’est exceptionnel. Il me semble que nous sommes tous au ralenti, que nos esprits et nos corps peinent, mais c’est une sensation agréable, comme de flotter sur un nuage. Un projectile en pleine tête m’arrache à ces considérations, buuuuuuuuh c’est froid la neige. Halte au feu, la maréchaussée passe devant nous, et il ne faut surtout pas qu’ils nous attrapent, nous sommes q’une bande de salles gosses.
En route, décollage pour Avignon city.
Dimanche 29 Février au alentour de 7h00
« Sourit sa va changer ta vie » m’interpelle une joyeuse fêtarde.
Elle était tout sourire et avait de petits yeux malicieux, mon esprit pédalait et retournait cette phrase sans cesse pour en comprendre le pourquoi? Il fallait chercher, il fallait chercher.
Car il faut l’avouer ces quelque mots contiennent une très grande sagesse.
J’entamais mon … je ne sais même pas combientième tour de la salle quant Aline et Pierre me fond signe de venir. Le soleil était levé, Pascalopoulos terrassé, il était temps d’élargir notre horizon, changé d’air, voire ce qui ce passait à l’extérieur.
Nuit de Samedi 28 au Matin du Dimanche 29
La salle semble immense, il y fait froid, mais heureusement je ne suis pas seul, 3 compagnons sont de la partie. Mon esprit commence à divaguer au rythme du son dans un univers étrange induit par les projections. Au milieu de la foule je retrouve certaines personnes que j’apprécies, mais bien vite un son noir et obscure envahi le lieu, les sourires radieux font place aux sourires crispés, c’est au milieu de la foule que l’on ce sent le plus seul.
Où sont passé mes amis il faut que je les retrouvent …
Toute la nuit mon esprit déconfit alterna recherche et trance au grée du petit circuit allant de la scène au bar, au wc et au floor.
Que sommes nous sans notre mémoire …
Elle est la sphère de notre existence, Elle fait de nous ce que nous sommes.
Après une soirée bien agité, que reste-t-il de ces instants, quelque bribe d’instant joyeux, de sourires complices échangé, un sentiment de joie partagé.Merci à tous et à bientot