Bonjour,
Je m'étais promis de faire un report sur cette compilation, masi sans le net, évidemment, c'est plus difficile. Sauf erreur de ma part, je n'ai pas vu de reports là dessus ! Dommage, si c'est le cas.
Pour vous rattraper et éviter de gaspiller dans votre argent dans des albums ou compils sans âme comme par exemple (CHILL DA FUNK OUT), précipitez vous plutôt sur l site d'Ultimae et commandez moi cette bombe.
Sans mentir, j'ai dû l'écouter deux à trois fois par jour quand elle est sortie et ce pendant au moins trois semaines.
Afin de vous donner le meilleur ressenti, je l'écoute donc là maintenant et vous livre mes impressions en direct live.
Bon voyage....
1- CARBON BASED LIFEFORMS //Digital Child//
Oiseaux, Rivière.
Mélodie qui monte doucement.
Des enfants jouent.
Les charleys se font douces et le rythme apaisant, comme la mélodie. Les basses passent, mais ne restent pas. Le piano est léger, aérien et les strings ne sont là que pour accompagner la mélodie mais ne pas relancer le morceau. Pas de fx, juste les samples d'oiseaux et d'enfants qui accompagnent le morceau pendant toute sa durée.
Une très belle intro qui donne toute la mesure de la compilation.
2- BETWEEN INTERVAL //Wishful Thinking//
Delays et reverb ouvrent ce morceau sur des fréquences saturées.
Puis, la voix réapparaît doublée d'une nappe accompagnée elle même par des saturations de fréquence (ccccccccccccccccccccchehhhhhhhhhhchhhhhhhhhhhhhcccch) et des samples venus de pluseurs endroits, notamment un d'une femme chantant un air d'opéra semble t'il. Et là, la mélodie traditionnelle fait son entrée (sitar ?), avec beaucoup de delays, beaucoup, beaucoup. Les saturations sont toujours là, elles font partie du morceau. Elles sont : Musique !
Le rythme fait son entrée, la mélodie, la même continue. C'est beau, c'est calme, apaisant !
Un nouveau groupe de samples réapparaît. Les fréquences. Le moment de plénitude est passé, il faut de nouveau tourner le bouton pour trouver une station de radio avec autant de qualités !
3- SOLAR FIELDS //Fiat Lux//
Un début classique, un kick qui part vite. Très fort. Attention, ce n'est pas du 4/4 !! Et puis la basse qui monte, les strings. L'ambiance se met en place doucement.
02:30, plus de son, tout se calme et ...................
Pfiuuuuuuuuuuuu
SPACE OPERA : l'explosion, un son prenant, un arrangement et des harmonies terribles me prennent comme si la main de Dieu venait me chercher sans jamis me redéposer !
GRAND
1 minute plus tard.
Retour à la normale, mais très vite, la basse revient, le rythme est resté le même. Seuls les sons changent. Je sens que ça va repartir. Il y a de la tension, tout va toujours très vite finalement.
06:00 : BAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAM
C'est reparti !!!!??
Non, pas encore, mais la tension est tellement forte que je pense que ça repart !
06:45 Le track se ralentit, les sons s'éteignent peu à peu, et BOUM ! Ca repart vraiment : SPACE OPERA dans ma face !!!
4- ISHQ //Ra//
Ca part bien.
Cependant, les nappes sont un peu répétitives et surtout trop fortes. Le track part trop vite et les harmonies pas toujours super bien faites. C'est peut être là que le morceau ne me plaît pas. Un kick qui accompagne une basse trop rebondissante. des drums et des sons pas toujours bien choisis, je trouve. Un sample que j'ai déjà eu l'impiression d'entendre il y alongtemps sur un album de solar quest, ça date.
Plus facile d'écoute. Moins surprenant.
5- OCHI BROTHERS //Silver Shore//
Ca commence avec des percus. Normal avec ce combo.
Un peu le même type de sample que sur le track précédent.
Le morceau est assez répétitif et part un peu dans tous les sens à mon goût. Et j'aime pas trop les toms que j'entends trop !
Y'a beaucoup de travail au nivau du rythme, c'est indéniable, mais les fx alourdissent la nappe qui n'évolue pas assez.
Bof. J'arrête l'écoute ici. Trop entendue, et pas assez surprenant. 03:47 dure du morceau : 06:31
6- NOVA Feat. AES DANA //Kalaallit Nunaat//
Pfiuuuuuuuuuuuuu.
Bah, alors là, c'est LE titre de la compil'.
Là; c'est du lourd !!!
LEs violons font leur apparition sur une ambiance très ciné. Niveau harmonie, c'est du surclassé.
La basse et le kick arrivent assez rapidement. Les violons se répètent et entament un dialogue.
02:10 BReak
Et soudain, un synthé fait son apparition, la nappe continue et le rythme continue d'évoluer, la basse revient. Le track continue.
Mais putain, ce synthé, il annonce bien quelque chose non ?
Les violons reviennent, inquiétants, angoissants.
Et à 04:30 : LIBERATIIIIIIIIIIIIIIIIIIION
Une voix arrive, les violons sont soumis au flanger comme le sample.
Et le morceau change, il évolue, les violons lui donnaient un côté aérien. Là, nous sommes dans le spatial !! Et clac, un 4/4 qui sert le tout.
Du grand, du très grand !!
Quand est-ce qu'ils nous font un album tous les 2 ?
J'ai dû l'écouter .... hum, 100 fois !!!!
7- SYNC 24 //Waiting//
Moitié de CBL
La basse rebondit, des samples de circulation automobile. Klaxon, sirènes, moteurs vrombissants. La mélodie est citadine, le track circule au milieu de la route. Le chant est lancinant, prenant, putain, que c'est beau !!
Vocoders.
Samples.
Basse rebondit.
Break.
Et clang, un autobus freine et la mélodie, oooooooooooh cette mélodie !!! Mais merde. Comme c'est beau !
Les plus belles heures de la zic' électro ont été écrites avec des nappes comme celles là, des mélodies qui se chantent, mais ne se retiennent pas. Des tracks que je veux remettre parce qu'il n'ya qu'en les écoutant encore que je peux ressentir les mêmes sensations, le même plaisir !
Je le remets tiens !
8- HOL BAUMANN //Human//
Mais là, c'est pareil !!
C'est de la grosse bombe.
Saturations, basse qui n'arrête jamais, un seul son. Et une mélodie qui joue avec la vélocité.
LA basse monte et elle se fait plus présente, plus agressive.
01:54 : Ca part, le rythme se lance et accompagne la mélodie. Les harmoniques sont parfaites. Les effts sont prodigieux, des reverse, des montées, des saturations de fréquences.
Le titre est mélancolique, comme une sorte de colère contenue.
Etonnant comme titre ambient car complètement différent des autres......... à la première écoute.
9- AES DANA //Aftermath n°8//
L'ambiance est là dès les premiers instants. Je sais tout de suite que je suis dans un tunnel, dans un univers sonore particulier et que je dois me faire à la reverb qui m'entoure, mais je sais que tous les fragments, les fissures qu'il y a sur les murs sont autant de sons qui pourront me guider et comprendre le sens de cette musique. C'est beau, intemporel, enlevé, élevé, aérien , spatial. Les delays font la mélodie. Et la mélodie se laisse emporter par les delays.
03:00 : rythme
La basse très dicrète mais qui relève le tout et donne le tempo au morceau.
Le piano se laisse toujours aller avec les delays.
5:00 : le kick part et laisse la mélodie derrière lui.
LEs fx sont passé aussi au flanger et l'ambience est surréaliste. Putain, ces charleys bordel !!!
Et ce synthé qui de temps en temps apparaît pour mieux nous laisser ensuite. Nouvelle basse, et après le break, kick, nouveaux sons.
Ce track regorge de surprises et de sons différents.
Encore du très très grand !
10- VIR UNIS //Light Curve//
Aaaaaaaaaaaaaah, de la fraîcheur. Des drums, des nappes parsemées de bleeps simples. LA lumière poursuit sonchemin au travers des météorites pour parvenir jusqu'à nous. Quand c'est trop gros, les drums se font plus rapides, plus présents, et j'entends les sonars qui envoient leur signal à plusieurs années lumières pour sonder le vide, l'inconnu.
Les drums montent, les nappes restent les mêmes, la basse est simple elle aussi, au loin. Les drums finissent par dominer le morceau. La lumière finit par atteindre la terre pour nous éclairer, nous réchauffer et rayonner sur la planète !
11-ANTONIO TESTA //Sunset//
De l'eau pour clore ce chapitre ULTIMAE.
Une simple mélodie au piano avec un jeu sur la vélocité là aussi et une nappe lointaine qui joue à changer. Les oiseaux là encore.
ALBEDO est le reflet des radiations solaires sur un objet.
ALBEDO raconte l'histoire de l'eau, de la lumière et de la terre. Nous en sommes les témoins.
ALBEDO est certainement la meileure compilation Ambient que j'ai jamais entendu. Faite de sons atmosphériques, de sons goa chill ou d'acid ambient. Elle est le reflet de ce qui se fait de mieux en Down tempo.
Même si les titres 4 et 5 sont selon moi les intrus sur cette compil', ils n'empêchent pas son excellente qualité. A se procurer d'urgence si ce n'est déjà fait tant ULTIMAE continue de nous enchanter à chaque issue.
Merci.
Je m'étais promis de faire un report sur cette compilation, masi sans le net, évidemment, c'est plus difficile. Sauf erreur de ma part, je n'ai pas vu de reports là dessus ! Dommage, si c'est le cas.
Pour vous rattraper et éviter de gaspiller dans votre argent dans des albums ou compils sans âme comme par exemple (CHILL DA FUNK OUT), précipitez vous plutôt sur l site d'Ultimae et commandez moi cette bombe.
Sans mentir, j'ai dû l'écouter deux à trois fois par jour quand elle est sortie et ce pendant au moins trois semaines.
Afin de vous donner le meilleur ressenti, je l'écoute donc là maintenant et vous livre mes impressions en direct live.
Bon voyage....
1- CARBON BASED LIFEFORMS //Digital Child//
Oiseaux, Rivière.
Mélodie qui monte doucement.
Des enfants jouent.
Les charleys se font douces et le rythme apaisant, comme la mélodie. Les basses passent, mais ne restent pas. Le piano est léger, aérien et les strings ne sont là que pour accompagner la mélodie mais ne pas relancer le morceau. Pas de fx, juste les samples d'oiseaux et d'enfants qui accompagnent le morceau pendant toute sa durée.
Une très belle intro qui donne toute la mesure de la compilation.
2- BETWEEN INTERVAL //Wishful Thinking//
Delays et reverb ouvrent ce morceau sur des fréquences saturées.
Puis, la voix réapparaît doublée d'une nappe accompagnée elle même par des saturations de fréquence (ccccccccccccccccccccchehhhhhhhhhhchhhhhhhhhhhhhcccch) et des samples venus de pluseurs endroits, notamment un d'une femme chantant un air d'opéra semble t'il. Et là, la mélodie traditionnelle fait son entrée (sitar ?), avec beaucoup de delays, beaucoup, beaucoup. Les saturations sont toujours là, elles font partie du morceau. Elles sont : Musique !
Le rythme fait son entrée, la mélodie, la même continue. C'est beau, c'est calme, apaisant !
Un nouveau groupe de samples réapparaît. Les fréquences. Le moment de plénitude est passé, il faut de nouveau tourner le bouton pour trouver une station de radio avec autant de qualités !
3- SOLAR FIELDS //Fiat Lux//
Un début classique, un kick qui part vite. Très fort. Attention, ce n'est pas du 4/4 !! Et puis la basse qui monte, les strings. L'ambiance se met en place doucement.
02:30, plus de son, tout se calme et ...................
Pfiuuuuuuuuuuuu
SPACE OPERA : l'explosion, un son prenant, un arrangement et des harmonies terribles me prennent comme si la main de Dieu venait me chercher sans jamis me redéposer !
GRAND
1 minute plus tard.
Retour à la normale, mais très vite, la basse revient, le rythme est resté le même. Seuls les sons changent. Je sens que ça va repartir. Il y a de la tension, tout va toujours très vite finalement.
06:00 : BAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAM
C'est reparti !!!!??
Non, pas encore, mais la tension est tellement forte que je pense que ça repart !
06:45 Le track se ralentit, les sons s'éteignent peu à peu, et BOUM ! Ca repart vraiment : SPACE OPERA dans ma face !!!
4- ISHQ //Ra//
Ca part bien.
Cependant, les nappes sont un peu répétitives et surtout trop fortes. Le track part trop vite et les harmonies pas toujours super bien faites. C'est peut être là que le morceau ne me plaît pas. Un kick qui accompagne une basse trop rebondissante. des drums et des sons pas toujours bien choisis, je trouve. Un sample que j'ai déjà eu l'impiression d'entendre il y alongtemps sur un album de solar quest, ça date.
Plus facile d'écoute. Moins surprenant.
5- OCHI BROTHERS //Silver Shore//
Ca commence avec des percus. Normal avec ce combo.
Un peu le même type de sample que sur le track précédent.
Le morceau est assez répétitif et part un peu dans tous les sens à mon goût. Et j'aime pas trop les toms que j'entends trop !
Y'a beaucoup de travail au nivau du rythme, c'est indéniable, mais les fx alourdissent la nappe qui n'évolue pas assez.
Bof. J'arrête l'écoute ici. Trop entendue, et pas assez surprenant. 03:47 dure du morceau : 06:31
6- NOVA Feat. AES DANA //Kalaallit Nunaat//
Pfiuuuuuuuuuuuuu.
Bah, alors là, c'est LE titre de la compil'.
Là; c'est du lourd !!!
LEs violons font leur apparition sur une ambiance très ciné. Niveau harmonie, c'est du surclassé.
La basse et le kick arrivent assez rapidement. Les violons se répètent et entament un dialogue.
02:10 BReak
Et soudain, un synthé fait son apparition, la nappe continue et le rythme continue d'évoluer, la basse revient. Le track continue.
Mais putain, ce synthé, il annonce bien quelque chose non ?
Les violons reviennent, inquiétants, angoissants.
Et à 04:30 : LIBERATIIIIIIIIIIIIIIIIIIION
Une voix arrive, les violons sont soumis au flanger comme le sample.
Et le morceau change, il évolue, les violons lui donnaient un côté aérien. Là, nous sommes dans le spatial !! Et clac, un 4/4 qui sert le tout.
Du grand, du très grand !!
Quand est-ce qu'ils nous font un album tous les 2 ?
J'ai dû l'écouter .... hum, 100 fois !!!!
7- SYNC 24 //Waiting//
Moitié de CBL
La basse rebondit, des samples de circulation automobile. Klaxon, sirènes, moteurs vrombissants. La mélodie est citadine, le track circule au milieu de la route. Le chant est lancinant, prenant, putain, que c'est beau !!
Vocoders.
Samples.
Basse rebondit.
Break.
Et clang, un autobus freine et la mélodie, oooooooooooh cette mélodie !!! Mais merde. Comme c'est beau !
Les plus belles heures de la zic' électro ont été écrites avec des nappes comme celles là, des mélodies qui se chantent, mais ne se retiennent pas. Des tracks que je veux remettre parce qu'il n'ya qu'en les écoutant encore que je peux ressentir les mêmes sensations, le même plaisir !
Je le remets tiens !
8- HOL BAUMANN //Human//
Mais là, c'est pareil !!
C'est de la grosse bombe.
Saturations, basse qui n'arrête jamais, un seul son. Et une mélodie qui joue avec la vélocité.
LA basse monte et elle se fait plus présente, plus agressive.
01:54 : Ca part, le rythme se lance et accompagne la mélodie. Les harmoniques sont parfaites. Les effts sont prodigieux, des reverse, des montées, des saturations de fréquences.
Le titre est mélancolique, comme une sorte de colère contenue.
Etonnant comme titre ambient car complètement différent des autres......... à la première écoute.
9- AES DANA //Aftermath n°8//
L'ambiance est là dès les premiers instants. Je sais tout de suite que je suis dans un tunnel, dans un univers sonore particulier et que je dois me faire à la reverb qui m'entoure, mais je sais que tous les fragments, les fissures qu'il y a sur les murs sont autant de sons qui pourront me guider et comprendre le sens de cette musique. C'est beau, intemporel, enlevé, élevé, aérien , spatial. Les delays font la mélodie. Et la mélodie se laisse emporter par les delays.
03:00 : rythme
La basse très dicrète mais qui relève le tout et donne le tempo au morceau.
Le piano se laisse toujours aller avec les delays.
5:00 : le kick part et laisse la mélodie derrière lui.
LEs fx sont passé aussi au flanger et l'ambience est surréaliste. Putain, ces charleys bordel !!!
Et ce synthé qui de temps en temps apparaît pour mieux nous laisser ensuite. Nouvelle basse, et après le break, kick, nouveaux sons.
Ce track regorge de surprises et de sons différents.
Encore du très très grand !
10- VIR UNIS //Light Curve//
Aaaaaaaaaaaaaah, de la fraîcheur. Des drums, des nappes parsemées de bleeps simples. LA lumière poursuit sonchemin au travers des météorites pour parvenir jusqu'à nous. Quand c'est trop gros, les drums se font plus rapides, plus présents, et j'entends les sonars qui envoient leur signal à plusieurs années lumières pour sonder le vide, l'inconnu.
Les drums montent, les nappes restent les mêmes, la basse est simple elle aussi, au loin. Les drums finissent par dominer le morceau. La lumière finit par atteindre la terre pour nous éclairer, nous réchauffer et rayonner sur la planète !
11-ANTONIO TESTA //Sunset//
De l'eau pour clore ce chapitre ULTIMAE.
Une simple mélodie au piano avec un jeu sur la vélocité là aussi et une nappe lointaine qui joue à changer. Les oiseaux là encore.
ALBEDO est le reflet des radiations solaires sur un objet.
ALBEDO raconte l'histoire de l'eau, de la lumière et de la terre. Nous en sommes les témoins.
ALBEDO est certainement la meileure compilation Ambient que j'ai jamais entendu. Faite de sons atmosphériques, de sons goa chill ou d'acid ambient. Elle est le reflet de ce qui se fait de mieux en Down tempo.
Même si les titres 4 et 5 sont selon moi les intrus sur cette compil', ils n'empêchent pas son excellente qualité. A se procurer d'urgence si ce n'est déjà fait tant ULTIMAE continue de nous enchanter à chaque issue.
Merci.
