C’est avec un peu de retard, mais avec beaucoup de plaisir, que je vous livre enfin ma première vraie critique et mon choix s’est porté sur :
Hydro Generator – Lucid Dream
(Bonne lecture)
Artist: Hydro Generator (Japon)
Title: Lucid Dream
Format: CD (jewel case)
Label: ELF Music (Japon)
Cat. #: ELFCD 008
Date: 20 April 2005
Track listing:
01. 05’54” Psychological Depiction
02. 08’00” Philosophy
03. 07’38” Evolution
04. 07’24” Future Scape
05. 08’34” Lucid Dream
06. 08’33” Dream Provider
07. 08’01” Karma (Circulation of the Orbit)
08. 08’11” Dawn 2005
09. 08’16” Cosmo (New Edit Rmx)
Avant tout de chose, je voudrais dire que le concept de ce cd, avant même de l’avoir écouté, m’a été très attirant, que ce soit le nom du groupe, ou le graphisme sur la pochette … un vrai régal, et je n’ai pas pu m’empêcher d’y jeter une oreille dessus, voir même les deux tant qu’à faire.
A travers les track …
01. (05’54”) Psychological Depiction :
Atmosphère assez dark en introduction ... de belles nappes de fond ... accompagné par quelques élément rythmique et une drum assez brutale apparaissant à 2 :20. A 2:42 ici on rentre dans un rythme plus rapide et plus profond, en break beat, avec de jolis sons crépitant ... le côté obscur est encore relevé par une longue basse.
Vers 3:30, une mélodie se met timidement en place, l’atmosphère est hostile. Un break assez cristallin se pose à 4:20 mais relancé par l'obscur à nouveau ... encore une mélodie qui s'immisce et des voix digitales graves se font entendre ... trop noir pour moi 5,5/10.
02. 08’00” Philosophy :
Un peu dans le même genre sauf qu'une bassline surprend à 0:28 pour nous donner la cadence, ça semble encore assez noir, mais on trouve de beaux éléments rythmiques. Une pause nous amène une mélodie à 1:38, la relance est assez réussie avec les effets sur la ligne, l'hypnotisme du rêve (cauchemar ?) commence ... la bassline est bien grasse et les tirs de laser vers 2: 30 donne un peu de pétillance. 3:43 relance avec de longues lyriques que je n’arrive pas a définir, on dirais un dialogue de film de science fiction. 4:09 ... le minimalisme le relaye 4:36 break après un gros slash ... et retour de la mélodie à 4 :56 qu’on trouve à 1:38
la relance à 5:28 est assez réussie, l'effet est sympas mais la mélodie reviens une 3 em fois, voir une 4 em fois à 6:04 puis à 6:20, les fx sont sympas à ce moment, mais on peut noter une certaine redondance. c'est une track qui manquais de relief à lors de ma première écoute, mais qui prend beaucoup de consistance lors des autres écoutes. De très bonne chose dans cette track. 7/10
03. 07’38” Evolution :
L’introduction lumineuse et pétillante nous met l’eau à la bouche pour un démarrage à 0:40 d’une bassline assez violence. De petites notes par ci par là avec un fond de vocal puis montée en puissance à 2:16 pour un lancement d'une petite ligne sympa et une grosse clap puis quelques éléments mélodiques. 2:56 la lyrique " it as enable... " (difficile à comprendre ce qu’il dit) crash et remontée 3:35 ça reprend avec des particules de mélodies. 4:30 pause avec sample menaçant aidant une mélodie à s'installer "Evolution … Evolution" montée 5:18 la relance est là ... s'en suis des pattern déjà utilisé à 6:24 ça parait long ... il reste encore 1 minute ... tout ça me semble manquer de quelque chose, fin peu réussie. Nous avons droit dans cette track à un assemblage de lignes mélodiques intéressant mais qui donne un ensemble un peu bancale. 5/10
04. 07’24” Future Scape :
Future Scape est construite en deux parties articulé autour d’un moment clé (2 :46). L’introduction est progressive, une grosse bass lance la machine, une mélodie d’accompagnement commence a jouer (genre orgue synthétique assez ignoble) et va nous accompagner tout au long de cette track. une montée progressive lance la bassline complète à 1 :06, et là j'ai peur que ça ne commence a faire mal au crâne. Ce qui s'en suis est creux, 1:46 ah la ligne crépitante reviens, ça donne du speed, l'orgue synthétique en fond n'est vraiment pas terrible. Tournant de la track à 2:46 ou un tout nouveau thème est abordé, nous rentrons dans une atmosphère goa old school, le tout sonne toujours un peu creux, on dirais qu’il manque quelques chose. 3:36 la mélodie est travaillée puis segmenté à 3:44 mais ça sonne amateur (pourtant j'aime ça en temps normal) 4:18 retour à un précédent thème ... montée pour 5:13, une relance très mélodique, c'est ultra cheesy en fait, limite music pour les enfants. La fin de track est un peu longuette ; j’ai eu du mal a supporter à la première écoute, mais à la 2em ça passe un peu mieux, mais c’est pas encore ça. Enfin bon j’accroche pas. 5/10.
05. 08’34” Lucid Dream :
Allez quelque chose de nouveau, plus aéré après une intro qui ne casse pas des briques et quelques voix. Le lancement de la rythmique est ici, plus surprenante que les précédentes track. Sons redondant entre 1:20 et 1:45 tout simplement pas beau. L'enchaînement est bon, l'arrivée des clap et hh est cool, puis retour deux notes redondantes. 2:53, ah un changement, un BD en 1x4 maintenant toujours les dup dup … 3:28 holla les dup dup s'existent, et montent en température, 4:10 pause qui fais du bien et fermeture de la porte. La reprise est bizarre. Une mélodie s'installe de 4:55 à 5:15 mais s'éteins sur la pause
quel dommage ! Encore une porte à 5 :50 avec d’autre superbe fx. La fin de track est assez réussie. L'atmosphère composée de 2 mélodies qui s'emboîte l'une dans l'autre sur la partie finale de cette track est bien sympa, la clap est trop forte, et le kick est bien gros. C’est très étonnant comme ce Japonais agence ces idées dans cette track, pourquoi coupe t il de belles choses qu’il met soigneusement en place, et laisse t il durer des pattern redondante. De bonnes idées encore, mais j’ai un peu de mal à accroché.
6/10.
06. 08’33” Dream Provider :
Le départ est composé d’une bassline rugueuse, d’une grosse bass clap bass clap arrivant peu après, et une mélodie en string ... très orgue synthétique, à 1:46 nous sommes témoins d’une discussion aliénatiques. Voice « Never again wake up » à 3:14 et ça se remet en place doucement pour 4:15 ... un air morning se met en place, s'isole et 4:42 disparais pour laisser une mélodie qui essaye difficilement de se mettre en place, très beau passage. Une autre couche arrive par-dessus qui évolue doucement, pour 5:30 qui un des plus beau moment de cet album, je commençais a désespérer. à 6:00 coupure sur une descente de kick, (je suis un peu triste que ça s’arrêter) wake up " et ça repart à 6:16 sur un loop un poil acid, bel assemblage à 6:48 avec la 2em mélodie 7:06 c'est très réussi et la mélodie reviens. La fin de track est ici encore composée de plusieurs mélodies, sauf que là nous en avons 3, on est gâté avec Dream Provider. J’aime bien cette track. 7.5/10.
07. 08’01” Karma (Circulation of the Orbit) :
Belle introduction, première belle intro
je me sens rassuré, (premier moment d’émotion de cet album) <;... ça mitraille un peu derrière genre hydro électrique ... et 1:06 bassline lancée avec des petits oignons (mise en route mémorable !). 1:31 nous avons, avec l'arrivée de la mélodie à l'orgue électronique ... un kit rythmique complet et là je me surprend à tripper ... + de linéarité, d'entraînement. Bel arrière plan ... et 2:44 c'est tout simplement très bon, à 3:06 ça crépite à nouveau ! C’est assez superbe. 3:20, deux mélodie s'ajoute au tout, manquant de magie certes mais tout de même très réussies. Peut être un poil cheesy, les effets sur les notes de la mélodie maîtresse sont merveilleux. 4:20 changement d'ambiance pour un moment délicieux encore. 5:20 remontée de la sauce. 5:41 là il y a tout les éléments majeurs de la track, mais on commence à connaître, et les plus critiques diront que c’est boring. La fin de track (dernière minute) nous apporte un sample nouveau ... rafraîchissant. Du joli tout ça, ça manque un poil de maturité mais c'est du beau boulot, et enfin de l’émotionnel dans la psytrance, c’est si rare, bravo.
8/10.
08. 08’11” Dawn 2005 :
Voici une track qui est rapidement devenue un grand classique pour moi … détail : Ah ... un peu de percussion derrière et un aspect un peu plus groovy progressif dans la rythmique, de joli string donnant une atmosphère de film. 2:15 La fameuse flûte orientale commence a jouer ses quelques notes pendant cette pause, et ça sonne bien ... l'ensemble est assez bon, et chargé là aussi d’un peu d’émotion. 2:53 ça y es la machine est lancée, je vous laisse apprécier, peu être une bassline un peu trop marquée, mais ça reste réussis. Pause nécessaire à 4:45 et belle pause, mélodique et émotionnelle, pendant cette pause une mélodique très discrète mais très pétillante se met en place pour donner à 5:36 une relance énergique. (sample de grelot genre chien de traîneaux) 6:08 pont avec grelot, partie minimale, retour à 6:40 des mood sound, la brume reviens ainsi que la mélodie à 7:05, fin de track hasardeuse, déprogression sans magie, bonne track Certains passages sont creux, et peu habiles et la bassline donne un peu mal au crâne.
7.25/10
09. 08’16” Cosmo (New Edit Rmx) :
Même genre ici ... intro avec leur son sympa ... et grosse BD un poil dark, sauf qu’ici je trouve que Hydro Generator est enfin maître de son talent et deviens un vrai professionnel dans ce qu’il souhaite faire. A 1:00 des éléments mélodiques relayés encore par des sons en background s’expriment avec maturité. Là le sens full-on prend bien tout son sens et une certain lancinance se met en place mais à 3:15 du relief arrive, mais rien d’extraordinaire tout de même. A 3:47 la machine roule toujours et ça deviens encore un peu + minimal, heureusement qu’une pause nous est accordée (4:15), avec des mélodies sympa se réinstallant et la machine repart, on dirais un poids lourd qui ne peut pas s'arrêter, enfin la reprise est assez trippante, des éléments sautillent à 5:43 et ça deviens mélodique liquide. Cosmo est un peu long, il y a de bonnes choses mais on ne reste pas rêveur.
Je pense que cette track est a explorer plus profondément que je ne l’ai fait, car il y a un vrai potentiel trip je pense. 7/10.
Note finale :
Bon, dans l'ensemble je suis un tout petit peu déçu, je m’attendais d’après le nom de l’artiste, à un album frais, qui respire. Or je trouve que c'est assez noir et full-on quand même, j'accroche difficilement toute la première partie de l'album, les atmosphères sont un peu étouffante, et la deuxième partie, malgré de très belles choses, révèle pas mal d'imperfections, des passages creux ou hasardeux.
Dans cet album, HydroGenerator nous propose quelques track ayant une vraie personnalité (notamment les track 2 4 6 7 8) le reste est plus anodin. J'ai l'impression dans l'ensemble que dans ces compositions, les lignes mélodiques ont trop de mal à se mettre en place et à s'exprimer comme si elles souffraient d'une très grande timidité.
Mais bon, de l’émotion, et des idées nouvelles comme ici, on en redemande.
Note global: 7/10.
Maden
Hydro Generator – Lucid Dream
(Bonne lecture)
Artist: Hydro Generator (Japon)
Title: Lucid Dream
Format: CD (jewel case)
Label: ELF Music (Japon)
Cat. #: ELFCD 008
Date: 20 April 2005
Track listing:
01. 05’54” Psychological Depiction
02. 08’00” Philosophy
03. 07’38” Evolution
04. 07’24” Future Scape
05. 08’34” Lucid Dream
06. 08’33” Dream Provider
07. 08’01” Karma (Circulation of the Orbit)
08. 08’11” Dawn 2005
09. 08’16” Cosmo (New Edit Rmx)
Avant tout de chose, je voudrais dire que le concept de ce cd, avant même de l’avoir écouté, m’a été très attirant, que ce soit le nom du groupe, ou le graphisme sur la pochette … un vrai régal, et je n’ai pas pu m’empêcher d’y jeter une oreille dessus, voir même les deux tant qu’à faire.
A travers les track …
01. (05’54”) Psychological Depiction :
Atmosphère assez dark en introduction ... de belles nappes de fond ... accompagné par quelques élément rythmique et une drum assez brutale apparaissant à 2 :20. A 2:42 ici on rentre dans un rythme plus rapide et plus profond, en break beat, avec de jolis sons crépitant ... le côté obscur est encore relevé par une longue basse.
Vers 3:30, une mélodie se met timidement en place, l’atmosphère est hostile. Un break assez cristallin se pose à 4:20 mais relancé par l'obscur à nouveau ... encore une mélodie qui s'immisce et des voix digitales graves se font entendre ... trop noir pour moi 5,5/10.
02. 08’00” Philosophy :
Un peu dans le même genre sauf qu'une bassline surprend à 0:28 pour nous donner la cadence, ça semble encore assez noir, mais on trouve de beaux éléments rythmiques. Une pause nous amène une mélodie à 1:38, la relance est assez réussie avec les effets sur la ligne, l'hypnotisme du rêve (cauchemar ?) commence ... la bassline est bien grasse et les tirs de laser vers 2: 30 donne un peu de pétillance. 3:43 relance avec de longues lyriques que je n’arrive pas a définir, on dirais un dialogue de film de science fiction. 4:09 ... le minimalisme le relaye 4:36 break après un gros slash ... et retour de la mélodie à 4 :56 qu’on trouve à 1:38
la relance à 5:28 est assez réussie, l'effet est sympas mais la mélodie reviens une 3 em fois, voir une 4 em fois à 6:04 puis à 6:20, les fx sont sympas à ce moment, mais on peut noter une certaine redondance. c'est une track qui manquais de relief à lors de ma première écoute, mais qui prend beaucoup de consistance lors des autres écoutes. De très bonne chose dans cette track. 7/10
03. 07’38” Evolution :
L’introduction lumineuse et pétillante nous met l’eau à la bouche pour un démarrage à 0:40 d’une bassline assez violence. De petites notes par ci par là avec un fond de vocal puis montée en puissance à 2:16 pour un lancement d'une petite ligne sympa et une grosse clap puis quelques éléments mélodiques. 2:56 la lyrique " it as enable... " (difficile à comprendre ce qu’il dit) crash et remontée 3:35 ça reprend avec des particules de mélodies. 4:30 pause avec sample menaçant aidant une mélodie à s'installer "Evolution … Evolution" montée 5:18 la relance est là ... s'en suis des pattern déjà utilisé à 6:24 ça parait long ... il reste encore 1 minute ... tout ça me semble manquer de quelque chose, fin peu réussie. Nous avons droit dans cette track à un assemblage de lignes mélodiques intéressant mais qui donne un ensemble un peu bancale. 5/10
04. 07’24” Future Scape :
Future Scape est construite en deux parties articulé autour d’un moment clé (2 :46). L’introduction est progressive, une grosse bass lance la machine, une mélodie d’accompagnement commence a jouer (genre orgue synthétique assez ignoble) et va nous accompagner tout au long de cette track. une montée progressive lance la bassline complète à 1 :06, et là j'ai peur que ça ne commence a faire mal au crâne. Ce qui s'en suis est creux, 1:46 ah la ligne crépitante reviens, ça donne du speed, l'orgue synthétique en fond n'est vraiment pas terrible. Tournant de la track à 2:46 ou un tout nouveau thème est abordé, nous rentrons dans une atmosphère goa old school, le tout sonne toujours un peu creux, on dirais qu’il manque quelques chose. 3:36 la mélodie est travaillée puis segmenté à 3:44 mais ça sonne amateur (pourtant j'aime ça en temps normal) 4:18 retour à un précédent thème ... montée pour 5:13, une relance très mélodique, c'est ultra cheesy en fait, limite music pour les enfants. La fin de track est un peu longuette ; j’ai eu du mal a supporter à la première écoute, mais à la 2em ça passe un peu mieux, mais c’est pas encore ça. Enfin bon j’accroche pas. 5/10.
05. 08’34” Lucid Dream :
Allez quelque chose de nouveau, plus aéré après une intro qui ne casse pas des briques et quelques voix. Le lancement de la rythmique est ici, plus surprenante que les précédentes track. Sons redondant entre 1:20 et 1:45 tout simplement pas beau. L'enchaînement est bon, l'arrivée des clap et hh est cool, puis retour deux notes redondantes. 2:53, ah un changement, un BD en 1x4 maintenant toujours les dup dup … 3:28 holla les dup dup s'existent, et montent en température, 4:10 pause qui fais du bien et fermeture de la porte. La reprise est bizarre. Une mélodie s'installe de 4:55 à 5:15 mais s'éteins sur la pause
quel dommage ! Encore une porte à 5 :50 avec d’autre superbe fx. La fin de track est assez réussie. L'atmosphère composée de 2 mélodies qui s'emboîte l'une dans l'autre sur la partie finale de cette track est bien sympa, la clap est trop forte, et le kick est bien gros. C’est très étonnant comme ce Japonais agence ces idées dans cette track, pourquoi coupe t il de belles choses qu’il met soigneusement en place, et laisse t il durer des pattern redondante. De bonnes idées encore, mais j’ai un peu de mal à accroché.6/10.
06. 08’33” Dream Provider :
Le départ est composé d’une bassline rugueuse, d’une grosse bass clap bass clap arrivant peu après, et une mélodie en string ... très orgue synthétique, à 1:46 nous sommes témoins d’une discussion aliénatiques. Voice « Never again wake up » à 3:14 et ça se remet en place doucement pour 4:15 ... un air morning se met en place, s'isole et 4:42 disparais pour laisser une mélodie qui essaye difficilement de se mettre en place, très beau passage. Une autre couche arrive par-dessus qui évolue doucement, pour 5:30 qui un des plus beau moment de cet album, je commençais a désespérer. à 6:00 coupure sur une descente de kick, (je suis un peu triste que ça s’arrêter) wake up " et ça repart à 6:16 sur un loop un poil acid, bel assemblage à 6:48 avec la 2em mélodie 7:06 c'est très réussi et la mélodie reviens. La fin de track est ici encore composée de plusieurs mélodies, sauf que là nous en avons 3, on est gâté avec Dream Provider. J’aime bien cette track. 7.5/10.
07. 08’01” Karma (Circulation of the Orbit) :
Belle introduction, première belle intro
je me sens rassuré, (premier moment d’émotion de cet album) <;... ça mitraille un peu derrière genre hydro électrique ... et 1:06 bassline lancée avec des petits oignons (mise en route mémorable !). 1:31 nous avons, avec l'arrivée de la mélodie à l'orgue électronique ... un kit rythmique complet et là je me surprend à tripper ... + de linéarité, d'entraînement. Bel arrière plan ... et 2:44 c'est tout simplement très bon, à 3:06 ça crépite à nouveau ! C’est assez superbe. 3:20, deux mélodie s'ajoute au tout, manquant de magie certes mais tout de même très réussies. Peut être un poil cheesy, les effets sur les notes de la mélodie maîtresse sont merveilleux. 4:20 changement d'ambiance pour un moment délicieux encore. 5:20 remontée de la sauce. 5:41 là il y a tout les éléments majeurs de la track, mais on commence à connaître, et les plus critiques diront que c’est boring. La fin de track (dernière minute) nous apporte un sample nouveau ... rafraîchissant. Du joli tout ça, ça manque un poil de maturité mais c'est du beau boulot, et enfin de l’émotionnel dans la psytrance, c’est si rare, bravo.8/10.
08. 08’11” Dawn 2005 :
Voici une track qui est rapidement devenue un grand classique pour moi … détail : Ah ... un peu de percussion derrière et un aspect un peu plus groovy progressif dans la rythmique, de joli string donnant une atmosphère de film. 2:15 La fameuse flûte orientale commence a jouer ses quelques notes pendant cette pause, et ça sonne bien ... l'ensemble est assez bon, et chargé là aussi d’un peu d’émotion. 2:53 ça y es la machine est lancée, je vous laisse apprécier, peu être une bassline un peu trop marquée, mais ça reste réussis. Pause nécessaire à 4:45 et belle pause, mélodique et émotionnelle, pendant cette pause une mélodique très discrète mais très pétillante se met en place pour donner à 5:36 une relance énergique. (sample de grelot genre chien de traîneaux) 6:08 pont avec grelot, partie minimale, retour à 6:40 des mood sound, la brume reviens ainsi que la mélodie à 7:05, fin de track hasardeuse, déprogression sans magie, bonne track Certains passages sont creux, et peu habiles et la bassline donne un peu mal au crâne.
7.25/10
09. 08’16” Cosmo (New Edit Rmx) :
Même genre ici ... intro avec leur son sympa ... et grosse BD un poil dark, sauf qu’ici je trouve que Hydro Generator est enfin maître de son talent et deviens un vrai professionnel dans ce qu’il souhaite faire. A 1:00 des éléments mélodiques relayés encore par des sons en background s’expriment avec maturité. Là le sens full-on prend bien tout son sens et une certain lancinance se met en place mais à 3:15 du relief arrive, mais rien d’extraordinaire tout de même. A 3:47 la machine roule toujours et ça deviens encore un peu + minimal, heureusement qu’une pause nous est accordée (4:15), avec des mélodies sympa se réinstallant et la machine repart, on dirais un poids lourd qui ne peut pas s'arrêter, enfin la reprise est assez trippante, des éléments sautillent à 5:43 et ça deviens mélodique liquide. Cosmo est un peu long, il y a de bonnes choses mais on ne reste pas rêveur.
Je pense que cette track est a explorer plus profondément que je ne l’ai fait, car il y a un vrai potentiel trip je pense. 7/10.
Note finale :
Bon, dans l'ensemble je suis un tout petit peu déçu, je m’attendais d’après le nom de l’artiste, à un album frais, qui respire. Or je trouve que c'est assez noir et full-on quand même, j'accroche difficilement toute la première partie de l'album, les atmosphères sont un peu étouffante, et la deuxième partie, malgré de très belles choses, révèle pas mal d'imperfections, des passages creux ou hasardeux.
Dans cet album, HydroGenerator nous propose quelques track ayant une vraie personnalité (notamment les track 2 4 6 7 8) le reste est plus anodin. J'ai l'impression dans l'ensemble que dans ces compositions, les lignes mélodiques ont trop de mal à se mettre en place et à s'exprimer comme si elles souffraient d'une très grande timidité.
Mais bon, de l’émotion, et des idées nouvelles comme ici, on en redemande.
Note global: 7/10.
Maden
