[album] Jean Michel Jarre : Electronica 1 : The Time Machine

Jean Michel Jarre : Electronica 1 : The Time Machine


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Voici une review du premier opus de la série de duos de Jean-Michel Jarre avec des artistes de la scène electro. (à noter : le volume 2: The Heart of Noise, est sorti ce mois-ci, mai 2016)

Concernant Electronica 1 j’ai vu beaucoup de mauvaises critiques de médias sur cet album, mais alors qu’en est-il vraiment? Hé bien pour mon avis c’est un album vraiment intéressant. On y retrouve les sonorités old-school typiques de l’époque 80-90’ avec des sonorité plus actuelles. Mais surtout le nombre de duos donne une très belle diversité à l’album, et une belle richesse sonore évidement, et puis l’ensemble ne manque pas d’être onirique.

Bon la seule chose que je trouve dommage c’est que le design de la pochette ne soit pas plus novateur ou simplement juste un peu plus design.

Quelques extraits des morceaux que je préfère :

The Time Machine (with Boyz Noize) : https://youtu.be/OenS8Fk2UtM
Glory (with M83) : https://youtu.be/NF7OoJZPLJc
Zero Gravity (with Tangerine Dream) : https://youtu.be/L7MHhLYecT0
Stardust (with Armin Van Buuren) : https://youtu.be/102qfG7W8RI

En résumé, c’est un album orienté grand public, mais avec une réelle qualité artistique!
Moi j’aime!  Smiley

Track-list :
1.The Time Machine (with Boys Noize)
2.Glory (with M83)
3.Close Your Eyes (with Air)
4.Automatic. Pt. 1 (with Vince Clarke)
5.Automatic. Pt. 2 (with Vince Clarke)
6.If..! (with Little Boots)
7.Immortals (with Fuck Buttons)
8.Suns Have Gone (with Moby)
9.Conquistador (with Gesaffelstein)
10.Travelator, Pt. 2 (with Pete Townshend)
11.Zero Gravity (with Tangerine Dream)
12.Rely on Me (with Laurie Anderson)
13.Stardust (with Armin van Buuren)
14.Watching You (with 3D of Massive Attack)
15.A Question of Blood (with John Carpenter)
16.The Train & The River (with Lang Lang)
Pour avoir eu la chance extrème de le voir en concert à Toulouse en 2009 ou 2010, je respecte hautement Jarre... j'ai observé les spectateurs et j'avais jamais vu ça depuis Magma en 2001... un silence impressionnant, des spectateurs aux yeux révulsés, de plus de 40 ans, au sourire béat .... il a même fini par inviter les gens à applaudir, tellement les gens etaient scotchés... visiblement, à force de faire des concerts géants loin de la France, son public le voyait pour la première fois "en vrai"... on a fini par descendre devant la scène à son invitation, pour danser ... par contre je déteste toujours "rendez vous" c'est pas possible  Smiley
J'ai également beaucoup aimé cet album. Relaxant, mélodique, bien rythmé.
JMJ serait sur Ableton Live désormais. Par chance un bloger a sauvegardé l' article du magazine de composition KR, qui est introuvable sur leur site, ils auraient pu le garder quand même, [:rale] pour ce que ça prend en disque dur, ehoh on est pas en 1990 KR, tous les journaux font ça !

http://vientdemee.blogspot.fr/2014/01/jean-michel-jarre-le-concept-du-tout.html

l' interview de 2012 :



11 septembre 2012

Le concept du tout numérique a vécu


Photo © François Bouchery

Artiste ayant fait le plus grand nombre de unes de notre magazine, Jean Michel Jarre a accepté d’être le parrain amical des 25 ans de KR. L’occasion d’un entretien au long cours sur le passé, le présent… et l’avenir.  





KR : Qu’est-ce qui a changé pour toi durant ces 25 dernières années, en matière de création musicale et de technologie ?

Jean Michel Jarre : La naissance de Keyboards Magazine correspond à l’entrée du tunnel. En 87, on est au carrefour de toutes les ambiguïtés. On sort tout juste du monde de l’analogique avec la disparition brutale des grands luthiers de l’électronique que sont Moog ou Theremin, pour entrer dans le concept de l’industrialisation de la musique à la japonaise, illustré par les débuts du CD, c’est-à-dire du 78 tours du numérique ! En réalité, la fin des années 80 marque le commencement d’une réduction sonore. On va d’abord tous croire au Graal du digital avant de passer les 20 années suivantes à couper la musique électronique de ses racines… pour s’apercevoir finalement que 90 % des plug-ins actuels ne sont que des émulations de machines hardware analogiques : compresseurs, EQ, synthés ou piano électriques. Michel Geiss avait fait à ce sujet un gag prémonitoire au début de l’ère digitale dans la revue américaine Studio Sound, en inventant le defectron, qui était censé salir le son numérique trop propre. Du côté de la création, les ambiguïtés n’ont pas manqué non plus… à commencer par l’album Switched On Bach de Walter Carlos sorti en 68, qui a fait croire à tout le monde que le synthé n’était qu’une sorte d’appareil cheap, avec de gros boutons et qui imitait les instruments symphoniques. L’approche allemande qui a suivi avec Kraftwerk et Tangerine Dream, a fait l’apologie de la machine dans le genre « le synthé remplace le compositeur et le musicien » et enfin vers la fin des années 80, la musique électronique a été réduite à un support pour le dancefloor. Ces 25 ans resteront donc à mon avis, une période de défrichage accompagnée d’une régression de la qualité du son. Cette perte n’est d’ailleurs pas que d’un point de vue technique. La chaîne hi-fi qui trônait dans nos salons a été abandonnée au profit de petits HP en plastique merdiques autour du laptop et d’un casque qui ne remplace pas la notion de partage. La sensation des ondes qui se déplacent physiquement dans l’air à partir des enceintes jusqu’à nos oreilles, reste indissociable de la façon dont on va réagir émotionnellement à la musique.

Comment vois-tu les 25 prochaines années ?

D’abord, un de mes vœux est d’avoir rapidement un KR sur iPad qui soit une vraie édition multimédia interactive ! Plus sérieusement, je pense que le concept du tout numérique a vécu, parce qu’on est des animaux analogiques et qu’à moins de faire intervenir la bio-génétique, on aura toujours nos oreilles et nos doigts ! On se dirige donc vers un mode hybride entre l’acoustique, l’analogique et le numérique en HD. À la fin du 21e siècle, on percevra certainement le son de nos smartphones et tablettes, comme les équivalents du poste radio à onde courte du siècle dernier.

Peux-tu nous parler de tes projets de concerts et d’albums ?

Pour les concerts, ça va aller vite, parce que j’ai décidé de faire une pause. Je sors de trois années ou j’ai dû faire 240 dates et j’ai vraiment besoin de revenir en studio où il y a plein de maquettes qui m’attendent. J’ai eu une période compliquée récemment, entre la perte de mes parents et celle de mon éditeur Francis Dreyfus, qui était un élément fondateur dans ma vie et ça n’a pas été évident de me concentrer sur la composition et l’écriture. Je dois dire qu’à ce niveau, la scène m’a fait vachement de bien ! Cette année, j’ai deux albums en chantier, entièrement composés de nouveaux titres, dont l’un très perso qui sera une œuvre de longue haleine, à destination d’Internet et réalisée exclusivement en home-studio. Le second est une collaboration avec des gens de la scène électronique d’horizon très diverses, qui devrait voir le jour, j’espère, d’ici la fin de l’année.

Quelle démarche sonore vas-tu suivre pour les compositions ?

Je travaille entre cet endroit et mon home-studio parisien, au départ minimaliste, bien que je ramène chaque jour de plus en plus de matos ! Je suis un peu revenu des plug-ins, car quand on a la chance de disposer d’un Fairlight, c’est quand même dommage d’utiliser son application sur iPad ! Je me sers par contre beaucoup des sampleurs virtuels comme Kontakt, pour échantillonner mes sons analogiques, que je passe ensuite dans différents traitements ou filtres pour les « patiner ». Paradoxalement, dans cette période où les synthétiseurs à transistors analogiques font référence sur le plan de la grosseur du son par rapport à leurs homologues numériques, la puissance et la chaleur des circuits à lampe n’ont encore pas été beaucoup explorées dans le domaine des musiques électroniques. C’est intéressant de voir qu’un certain nombre de jeunes développeurs américains comme Metasonix, reviennent aussi à l’utilisation des filtres à lampes. Pour ma part, j’ai ressorti des vieux orgues comme le Vox Continental des Doors ou le Farfisa Professionnel que j’utilisais avant Oxygen et que je fais passer dans des pédales. Côté synthé, j’utilise bien sûr toujours le VCS 3 d’EMS, l’ARP 2600 et le Moog modulaire ainsi que pas mal de boîtes à rythmes assez obscures que je collectionne, comme les premières Keio Mini Pops de Korg qui possédaient un haut-parleur ou la petite Drummer Boy très rare, que je partage avec Moby. On est sûrement d’ailleurs les deux plus grands obsédés de BAR et il nous est même arrivé d’enchérir simultanément sur ebay pour un même modèle… avant de se calmer ! Je passe aussi beaucoup plus qu’avant mes machines par des amplis, comme des têtes Marshall ou l’Eko qui a un son super et que j’ai fait midifier pour pouvoir le synchroniser avec Pro Tools.

Dans la continuité de cette approche, qu’utilises-tu comme type de système pour le mixage et la production ?

Depuis qu’on a quitté les Neve et les SSL et que le magnéto est devenu un Pro Tools, on n’a plus que des grosses télécommandes en remote. Du coup, quand l’informatique est éteinte, on se retrouve avec des consoles mortes. Après avoir hésité longuement entre les solutions Digidesign très performantes, mais exclusivement dédiées à la DAW, j’ai finalement choisi de privilégier une solution mixte avec la Digico SD7. C’est une console développée au départ pour la scène, dont deux modèles ont été customisés pour U2 et moi, afin de les tester pour attaquer le marché du studio. Elle possède une ergonomie fantastique entre analogique et numérique, avec des vrais préamplis et une connectique MADI offrant un nombre de pistes illimitées, ce qui va me permettre de réutiliser mes racks hardware qui dormaient depuis des années.

C’est donc une double optique de travail entre l’utilisation studio et les préparations pour le live ?

Dans l’électro, les artistes arrivent souvent avec Live, Logic ou Pro Tools et le challenge consiste surtout à modifier des sessions déjà préparées en studio. J’ai déjà donné dans le genre et aujourd’hui, je trouve que si on vient partager un moment sur scène, la notion de live est fondamentale et ce qui fait la fraîcheur d’un groupe de rock, c’est d’être capable d’improviser, changer l’ordre des morceaux, etc. C’est ce que j’ai voulu faire lors des dernières tournées, contre l’avis de ceux qui pensaient que j’étais complètement malade de me balader avec 60 instruments analogiques, des « Moog » qui se désaccordent, etc. Au final, on a eu des galères, mais pas plus qu’un groupe de rock qui pète une corde et ça les gens le sentent, ils applaudissent, ils sont avec toi. Du coup, tu dégages autre chose sur scène, tu te retrouves en prise directe et ça t’évite de faire du « burlingue » avec un set compressé de la même façon d’un bout à l’autre et une dynamique qui n’évolue pas. La musique électronique a besoin aujourd’hui de retrouver une certaine spontanéité et ne plus se baser uniquement sur une répétition de patterns. Dans mes deux futurs projets, il n’y aura d’ailleurs aucun pattern. Si je dois faire intervenir une boîte à rythmes pendant 7 mn, je l’enregistrerai entièrement. On peut regarder des nuages passer pendant des heures, mais si on recopie une séquence de dix secondes de ces mêmes nuages, on décroche au bout de quelques minutes !

Source: kr-homestudio.fr
Posted by VientDeMe ♀ at 19:12

Labels: 2012, Jean Michel Jarre, Jean Michel Jarre - Interviews, Magazine, PDF



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Autre article, je n' ai pas ajouté toutes les photos :

http://www.gqmagazine.fr/pop-culture/musique/articles/jean-michel-jarre-le-yoda-de-l-electro/30543

JEUDI, 17 DÉCEMBRE 2015

JEAN-MICHEL JARRE, LE YODA DE L'ÉLECTRO
PAR LUDOVIC LEGAL

Il n’a été ni cold ni new wave. Ni hype. Mais l’homme qui a vendu 80 millions de disques est l’artiste qui a vécu toutes les vies de la musique électronique. À l’occasion de son nouvel album, JMJ revisite avec GQ cinquante ans d’électro et de collaborations avec les plus grands.

Jean-Michel Jarre, le yoda de l'électro

IL DOIT TOUT AU ROCK PROGRESSIF
En 1971, Who’s Next des Who (ici en 1968) est le premier album de rock avec des plages électroniques, comme son morceau d’ouverture hommage à Terry Riley, l’initiateur du minimalisme dans la musique contemporaine : "Baba O’Riley". "Je suis ni Beatles ni Stones, je suis The Who. C’est le plus non-conventionnel des groupes : quatre solistes qui jouent tous au maximum. Ils ont aussi intégré des synthétiseurs pour la première fois dans le rock. Ça a été une révélation : ce que l’on cherchait au GRM [le Groupe de recherches musicales de Pierre Schaeffer, ndlr], d’autres l’avaient trouvé de manière empirique."

IL ADMIRE LE KRAUTROCK
Dans les années 1970, les Allemands inventent le krautrock, une musique répétitive et futuriste incarnée par Can, Neu !, Kraftwerk ou Tangerine Dream (ici en 1986). "La musique de Tangerine Dream faisait partie de mon ADN, même si nos approches de l’électronique étaient différentes : les Allemands faisaient l’apologie de la machine en utilisant des séquenceurs et j’étais dans une démarche plus impressionniste et organique. Le morceau que l’on a réalisé ensemble se veut une combinaison de nos deux styles. C’est le dernier enregistré par Tangerine Dream, son leader Edgar Froese étant décédé peu après."

IL EST FAN DE TRIP-HOP
Au début des années 1990, à Bristol en Angleterre, Massive Attack, Portishead ou Tricky prônent une approche climatique qui intègre le dub, les BO de films et le hip-hop. "Pour moi, le trip-hop était une vraie rébellion face à l’esthétique agressive héritée du punk. Un son sensuel dont le côté dark ne vient plus de la brutalité mais de l’ambiance. C’est très cinématographique. L’album Blue Lines (1991) des Anglais de Massive Attack est complètement impressionniste avec un côté tribal et sexuel et n’est pas sans rappeler Zoolook, mon album de 1984. Ils ont aussi un aspect technologique que nous avons voulu mettre en avant dans notre morceau "Watching You" qui parle de notre société orwellienne."

IL A INSPIRÉ LA FRENCH TOUCH
Au mitan des années 1990, la French touch rassemble une nouvelle génération de musiciens (Daft Punk, Cassius, Air...) qui exporte à nouveau les beats disco et les sons électroniques made in Paris. "Chez Air je retrouvais autant l’album Oxygène (1976) que ce que j’avais fait avec Christophe [pour qui JMJ a notamment écrit Les Mots bleus, ndlr]. L’idée de notre collaboration était de faire un panorama de la "lutherie" des musiques électroniques depuis les années 1950. Le morceau se termine même avec un son que j’ai réalisé sur un iPad."

IL A ÉTÉ UN PIONNIER DE LA TECHNO
Sorti en 2013, Aleph, du producteur lyonnais Gesaffelstein, recentre la techno française sur ses fondamentaux. Un album dur, sombre et sexy, en symbiose avec le revival des raves. "Dès que j’ai entendu la musique de Gesaffelstein, j’ai senti qu’on partageait quelque chose. Il travaille dans la puissance, sans oublier le caractère ludique de la musique. Comme moi, Gesaffelstein cherche une mélodie simple qui cache une mélancolie souterraine."




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Ca m' a fait trouver d' autres liens du coup :
http://www.deutschlandfunk.de/suchergebnisse.448.de.html?search%5Bsubmit%5D=1&search%5BwithNews%5D%5B%5D=WithNews&search%5Bword%5D=Jean+Michel+Jarre

Traduit en français automatique de Chrome :

http://www.deutschlandfunk.de/synthesizerpionier-jean-michel-jarre-zwischen-laserharfe.2588.de.html?dram:article_id=348783

Synthétiseur pionnier Jean Michel Jarre
Entre Laser Harp et electropop
Le compositeur, producteur et interprète Jean Michel Jarre est l'un des pionniers de la musique électronique, avec ses débuts "Oxygène", il a créé il y a 40 ans un classique de l'histoire de la musique électronique. Pour son nouvel album "Electronica" Jarre a demandé 30 stars internationales de la scène de la musique électronique de l'aide.
Par Thomas Elbern

Jean Michel Jarre est l'un des pionniers de la musique électronique, en tant que musicien, compositeur, producteur et interprète. Dans les années 60, il est allé au béton-fondateur musique française Pierre Schaeffer dans l'enseignement. La musique électronique que nous connaissons aujourd'hui a été appris dans son enfance, oui, ils avaient même pas marcher correctement au début des années 70. De instruments traditionnels comme le piano ou la guitare, ces pionniers étaient loin. Au lieu de cela, la musique a été produite par les premiers synthétiseurs et générateurs de sons ou ils se composait de fragments individuels qui ont été zusammencollagiert de divers morceaux de cassette audio. Jean Michel Jarre était dès le commencement:

"La musique électronique vient d'ailleurs. Cela n'a rien à voir avec le format pop américaine ou rock. Il a ses racines en Europe. En France et en Allemagne. Stockhausen sur un, Pierre Schaeffer et Pierre Henry de l'autre côté. Schaeffer était mon mentor, mon professeur, et celui qui a changé le monde. ce fut le premier qui m'a appris que la musique est non seulement note, mais aussi du son ".

Le son du laboratoire

La musique électronique a d'abord été plutôt dans les laboratoires que dans les studios d'enregistrement traditionnels. Et il a été essayé quoi que ce soit.

"Vous pouvez faire de la musique avec des sons, où vous avez enregistré le vent, la pluie sa voiture ou son chien. Mais qui était alors assez cher. Aujourd'hui, chaque DJ est aussi une sorte de designers sonores, mais à ce moment-là était que comme un petit fou et de mauvaise humeur. Toutes ces possibilités dans la production musicale, mais aussi la distribution ont la mode a changé la façon dont nous écoutons de la musique maintenant. "

Jean Michel Jarre a rejoint les alors de nouvelles possibilités techniques de la musique avec des mélodies accrocheuses. Le résultat a été il y a 40 ans, l'album "Oxygene". Aujourd'hui, cet album instrumental est considéré comme l'une des productions les plus réussies de la musique électronique populaire. Mais en 1976, l'année de publication, qui a vu une image très différente:

"Ok, le succès de 'Oxygene' était une grosse surprise à l'époque. Cela fait suite à ce que presque toutes les sociétés de disques ont refusé cet album. Il n'y avait pas de textes, pas de batteur, aucun chanteur et trois minutes des morceaux que vous jouez bien sur la radio pouvait et à la production venait encore de la France. Enfin, un petit label enregistré l'album sous contrat. Comme 'Oxygene' a ensuite mis en vente, plus que quelques exemplaires du LP ont été renvoyés à la maison de disques, parce que les auditeurs pensaient que le blanc bruit au début était une sorte d'erreur ".

Musique expérimentale rencontre pop

Jean Michel Jarre a été l'un des premiers qui a essayé de combiner la musique pop avec l'électronique:
«Ce qui a extrêmement occupé moi-même, était de construire un pont entre la musique expérimentale et pop. J'avais déjà joué dans des groupes de rock et a trouvé les mélodies sont l'élément le plus important dans la musique. Au début la musique électronique tout était beaucoup plus abstraite, intellectuelle et dogmatique. J'avais pour 'Oxygene' exactement deux synthétiseurs sont disponibles. aussi, je devais seulement un cadre financier et technique limité, parce qu'il n'y avait pas encore à cette époque de nombreux synthétiseurs. au moment où les grands studios étaient la mesure de toutes choses. vous êtes assis sur un côté de l'aquarium et derrière le verre est assis Toningineur et peut jouer à Dieu. un studio à la maison, qui n'a pas été pris au sérieux. Aujourd'hui, il est exactement l'inverse. Aujourd'hui, on surtout produit à la maison, tandis que les grands studios maintenant seulement sont nécessaires pour tirer un exemple, une symphonie ou deux musiciens simultanément ".

Isolement dans le studio

L'album "Oxygene" était, du point de vue d'aujourd'hui dans un environnement techniquement très limitée, au milieu des années 70: Pas d'ordinateur, pas d'Internet, pas de moyen de réseau avec les autres. Le musicien électronique composé et a travaillé dans une sorte de capsule sonore, isolé du reste du monde. Jarre se souvient:

"Quand j'ai commencé à la fin des années 60, j'ai eu aucun contact avec des musiciens qui ont fait la même. 1974, quand je suis tout à fait quelques années ici, j'ai entendu 'Autobahn' de Kraftwerk. Je pensais que c'est un groupe de Californie qui chante en allemand. Je pensais que c'était tellement cool, comme un américain en allemand pour chanter et sonner comme une version techno des Beach Boys. Je dis la raison, de montrer ce qu'il était. Avant l'invention de l'Internet, où nous aimons tous les rats ou les étrangers fous vivaient dans nos caves, tous très occupés et pas vraiment connecté. "

Les développements techniques et dispositifs stylistiques musicales

L'histoire de l'entreprise de 67 ans, Jean Michel Jarre est très étroitement lié au développement de la musique électronique et de la technologie d'enregistrement dans le studio d'enregistrement, il a même apporté des progrès. De bande classique à l'ordinateur qui stocke les données audio sur son disque dur, par la machine de contrôle par le biais d'une boîte à rythmes sophistiqués et les extraits de la ligne de production pour "Fairlight".

Fairlight a été le premier synthétiseur numérique avec la technologie d'échantillonnage, les 8oer-premières années pouvaient se permettre seulement des gens comme Peter Gabriel, Kate Bush, Art of Noise, mais aussi Jean Michel Jarre, cependant.

"Le Fairlight a été le premier échantillonneur commercial et je l'ai connu cet instrument comme une sorte de salut. Car, comme je suis venu à la musique électronique, était par échantillonnage, même si elle n'a pas encore été inventé à cette époque. Avec Pierre Schaeffer et Pierre Henry, nous devons ont sorti et avec un microphone et un magnétophone sons enregistrés à partir de laquelle nous avons fait de la musique plus tard. ce fut un travail fou à mettre ensemble avec la séquence de la machine de la bande à la séquence, et le transfert à la clé correcte. Soudain, il y a un outil avec lequel vous pouvez faire tout cela. vous prenez votre chien et peut composer une symphonie du bruit. l'échantillonneur a changé la musique ensemble. maintenant, tout le monde est votre orchestre. "

Arrivé maintenant

Les progrès technologiques rapides a changé la musique électronique grandement. Dans le son, mais aussi comment il est jamais produit. Aujourd'hui, l'ordinateur de synthétiseur complexe sont simulés et les effets, par exemple les équipements de cabinets plus tôt était nécessaire, peut être fait en une journée de comprimé semi-rapide. Jean Michel Jarre a suivi l'évolution au fil des ans et n'a jamais perdu intérêt.

«Je l'ai toujours me gardé beaucoup d'intérêt et une curiosité en ce qui concerne la technologie. Parce que la technologie dicte le style. Écoutez la machine à tambour TR 808, qui a influencé de nombreuses productions, de Jeff Mills à Plasticman, oui Techno se cofondé a. sans piano il n'y a pas de Chopin, sans qu'il le format 78 Rpm pas trois minutes hit. Il y a de nombreux exemples où le style d'art définit ainsi. ayant une curiosité et un intérêt pour l'un de mes travail de le faire. "

Le concert comme un gigantesque spectacle

mettre la musique électronique sur scène, pas une tâche facile dans les moments où il n'y avait pas d'ordinateur portable. Jarre a tôt comment occupé il peut divertir un public en direct avec de la musique de synthétiseur. Il est rapidement devenu clair ici eu dans le Live Show sont définis comme par exemple dans un groupe de rock très différents accents. Jarre a travaillé avec des effets visuels: une harpe dont les cordes sont faites de faisceaux laser, un somptueux feu d'artifice, un écran géant avec des projections. Ce qui est maintenant une norme presque une plus grande production de concerts: pionniers comme Jean Michel Jarre ont utilisé en premier. Qu'est-ce qu'il savait depuis le début: son concert doit être un spectacle!

«J'ai réalisé très tôt que, en ce qui concerne la performance, la musique électronique est pas aussi rock ou classique œuvres, le violon, la trompette, violoncelle, clarinette et tout comme la guitare Gibson et Fender -. Ils sont tous avait été fait comme un instrument en direct. pour les concerts, les performances, tout en essayant au studio pour enregistrer leur son typique. dans les instruments électroniques, il est exactement le contraire. ces instruments ont été fabriqués dans le laboratoire pour le studio. le défi, ces instruments sur le utiliser scène. maintenant il est pour les téléspectateurs pas particulièrement excitant de voir un musicien qui à deux heures accroupis derrière un ordinateur portable ou un synthétiseur. J'étais très tôt conscient que je devais le faire différemment. au moment où je suis un grand fan opéra allemand. tous les meubles, la lumière, de dire tout ça pour une histoire complexe qui a m'a vraiment impressionné. Inspiré de celui-ci, je dois les possibilités techniques qui me sont offertes avec la vidéo, laser et la lumière montre les tentatives de faire plein usage de donner ma musique une sorte d'interprétation visuelle ".

Pink Floyd contre Jean Michel Jarre

son premier concert en 1979, à Paris Place de la Concorde Déjà était accompagné d'éclairage sophistiqués effets, feux d'artifice et projections. Environ un million de téléspectateurs ont regardé ce spectacle audio-visuel. Ce genre de spectacle a été connu jusqu'à présent vraiment que les grandes productions théâtrales ou par le groupe britannique Pink Floyd. premier concert de Jarre devait être le spectacle qui ne jamais oublier le public si vite.

"A cette époque, il n'y avait pas beaucoup de musiciens qui ont fait cela. Quand ils voient ces grands festivals de musique électronique aujourd'hui, il ressemble un peu à ce que je faisais il y a 30 ans. Les groupes de rock comme les Rolling Stones ou U2 ont joué au début avec un spectacle de lumière et voilà. tout d'un coup avait toutes ces productions visuellement somptueux. Ainsi commença Pink Floyd et je beaucoup plus tôt. Avant la bande incrustée une grande pause, ils ont donné une interview télévisée. batteur Nick Mason a plaisanté , nous écouter d'abord, nous avons maintenant Jean Michel Jarre va d'abord ".

Jean Michel Jarre en Chine

L'histoire de Jarre est non seulement dans la perspective de la technologie de la musique un superlatif: En 1981, il a été le premier Pop européenne, qui a eu lieu après la mort de Mao Zedong de la République populaire de Chine. Les concerts ont eu lieu par étapes, strictement contrôlées et garanties par le personnel militaire.

"Pour faire une longue histoire en Chine, après l'époque de Mao se produire à ce moment-là était de jouer comme sur la lune. Cela était vrai pour moi, mais aussi pour le public chinois. Imaginez un pays le droit d'où les gens de 25 ans ont été coupés de la culture occidentale. Ils ne connaissaient pas de Beatles, pas Elvis Presley ou Charlie Chaplin. toute la culture pop était allé devant eux. le genre de spectacle que je devais à ce moment-conçu, ont été à Londres, Berlin, Paris ou New York New ils avaient certainement jamais vu de pareil en Chine. ce fut comme un choc fantastique et pour moi l'un des concerts les plus extraordinaires que j'ai jamais joué. Il était comme sur une autre planète. "

Electronica, un gigantesque projet prend forme

Pour son dernier album "Electronica" Jarre a demandé plus de 30 stars internationales de la scène de la musique électronique de l'aide. Il a voyagé tous les cinq ans par le monde à coopérer avec des musiciens sélectionnés pour cet album. La première partie de l'album déjà sorti en Octobre à 2015 tout la deuxième partie sera publiée au début de mai.

Volume 1 et 2 de "Electronica" examine l'histoire, ainsi que l'avenir de la musique électronique dans la perspective de Jean Michel Jarre. Mais surtout, la manière dont l'album a été enregistré, est remarquable:

«Aujourd'hui, la production de musique use de telle sorte que, les producteurs de fichiers sur Internet à travers et en arrière. Ne pas parler les uns aux autres, ils ne répondent même pas, mais y jouer quelque chose. Dans mon projet, il était exactement le contraire. Nous avons essayé de découvrir le processus créatif ensemble et à ma grande surprise, la plupart des musiciens sont d'accord. "

Grandes stars de la musique électronique

Vince Clarke, co-fondateur de Depeche Mode, Yazoo et Erasure, Armin van Buuren, internationalement trance réussie DJ des Pays-Bas ou le compositeur d'origine allemande Hollywood films Hans Zimmer - ce ne sont que quelques artistes qui ont visité Jarre dans leurs studios et avec eux les chansons travaillé pour "Electronica 1 & 2". Le contact personnel entre les musiciens: Dans un monde numérique, entièrement en réseau est celui de Jean Michel Jarre déjà presque une approche similaire:

"Ceci est tout à fait semblable à la façon dont nous parlons tous les deux maintenant. Nous sommes assis en face de nous et pouvons-nous regarder dans les yeux. Si nous appelons, ce serait quelque chose de différent, cela changerait tout. Et si vous partage conjointement le processus de création, est aussi quelque chose d'autre encore. d'être ensemble dans une pièce, fait une grande différence. et cela n'a rien à voir avec la technologie, mais est complètement hors du temps. avant l'Internet, il y avait le téléphone, avant qu'il y ait la carte postale, il a mais pas changer le fait que lorsque vous êtes assis ensemble et, ensemble, le processus de création a connu ensemble, la venue d'autres choses ".

Le contact direct du studio a changé les résultats

"La création musicale électronique est souvent de toute façon une chose assez solitaire: vous êtes seul dans son studio, un peu comme le peintre dans son atelier Les secrets, les points sensibles qui possèdent voie d'approche au son des expériences seulement un .. lorsqu'ils travaillent ensemble. Je suis incroyablement reconnaissant, ont contribué les si différents musiciens tels que Massive Attack, Air, Moby, Gary Newman, Vince Clarke, Tangerine Dream et Boysnoize. Ils ont tous consenti à cette expérience, ce moment très personnel avec moi à partager. Et bien sûr, les résultats ont été très différents. "

Avec Moby en studio

Le dernier album de Jarre "Electronica" 1 & 2 est un projet extraordinaire qui a ramené les Français dans le centre d'attention. Il y avait aussi des moments dans le studio, qui ne pouvait donc se poser parce que Jarre avait voyagé localement. Par exemple, au milieu de la Californie avec des musiciens américains "Moby":

«Comme je me suis assis avec Moby dans son studio à Los Angeles, il y avait encore une fois ce moment. Moby a joué un accord ré mineur sur son piano, à tous les enfants pourraient jouer et immédiatement l'entendit sortir. Cette attaque légèrement dépressive, typique Moby. Je l'appelle toujours le Woody Allen de Techno. il a cette innocence dans ses mélodies, qui sont toujours très triste. Tout cela n'a rien à voir avec la technologie, mais il est de vous-même. "

Réunion de deux géants Synthétiseur

Le voyage qui a pris Jean Michel Jarre pour son album "Electronica", a touché son propre passé. En particulier en ce qui concerne le groupe électronique allemand Tangerine Dream, donc il y a des parallèles: Jarre et Edgar Froese, fondateur de Tangerine Dream, a toujours eu une idée très similaire de la musique de synthétiseur et tous les deux ont commencé à la fin des années 60 ainsi de suite. Tout le monde a suivi la carrière des autres pendant de nombreuses années. ayez pitié, elle si tard, peu de temps avant la mort d'Edgar Froese, mettre en commun leurs esprits créatifs en Janvier 2015.

«Nous avions jamais rencontré en personne durant toutes ces années. Quand je suis arrivé à Vienne, je l'ai emprunté une voiture et je suis conduit à son village. Il m'a reçu comme un vieil ami. Nous avions tellement de points d'attache commun et une vision assez similaire de ce que la musique et bien au-delà ont été concernés. Pour nous deux cette réunion était une sorte de soulagement. Quand je suis revenu après que nous avions travaillé dans son atelier, m'a dit sa femme Bianca. vous ne pouvez pas imaginer quelle joie Edgar a fait que vous faites pour votre visite. seul l'effort que vous avez pris ce voyage à vous de venir à notre petit village, derrière elle est une manière particulière de penser ".

Jean Michel Jarre est "Electronica" retour dans le présent. Une carrière impressionnante derrière lui, 80 millions de disques vendus dans le monde, gigantesque show spectaculaire et la fusion réussie de la pop et de l'électronique dans les temps où cela était assez nouveau territoire. Cependant, "Oxygene" de Jarre est resté album réussi. Ce son qui Jarre donc pour matriçage, avait depuis longtemps évolué et maintenant a engendré de nombreuses stars et facettes nouvelles et très différentes dans les années 1990 et 2000. Jarre a même eu un petit oubli tandis Techno, Trip Hop et de nombreux autres styles électroniques phénomène de masse étaient.

Fait intéressant, qui a rassemblé sur les deux albums Electronica JARRE beaucoup des protagonistes actuels de la musique produite synthétiquement. Il est ici comme une fusion parfaite du passé et du présent.

Le dandy électronique dans un costume blanc

Jarre lui-même était toujours comme un Bryan Ferry est avec son chic, quelque chose de costume blanc comme un dandy de la musique électronique, semblable à Pop. Comment il fait entendre avec le vieillissement et tous les effets secondaires?

"Tout d'abord c'est un grand honneur que vous me comparez avec Bryan Ferry. J'ai toujours aimé cette image Dandy de lui qu'il a introduit dans la musique rock et pop. Je pense que les artistes ont une relation différente avec le temps. A mon dernier album sous-titré «machine de temps. Je ne veux pas dire le passé ou l'avenir, mais plutôt traiter avec le temps. les artistes vont différemment avec le temps de faire. Mon travail a beaucoup à voir avec la dépendance. Je ne fais pas de la musique pour moi de se divertir, mais parce que je ne peux rien faire d'autre. Je suis comme un homme poussé. Il est un mélange de frustration et d'espoir. la frustration d'avoir à nouveau pas accompli ce que je voulais et l'espoir que ce ne soit pas aussi mauvaise et la prochaine fois moins de douleur me prépare. l'espoir d'un jour pour réaliser l'album idéal qui allait toujours dans mon esprit. ceci est mon moteur, mon âme. un jour pour faire cet album. qui ne sera probablement jamais arriver. "

la sagesse de l'âge et les générations futures

Jean Michel Jarre est donc bricoler plus perfectionniste de mettre en œuvre sa vision de la musique. Jarre, une sorte de vie encyclopédie de la musique électronique et de la recherche en termes de synthétiseurs et techniques, juste pour les jeunes musiciens un des conseils d'enregistrement:

«Le conseil que je puisse donner un novice ou jeunes musiciens sur le chemin: Au lieu de toujours courir après la dernière des synthétiseurs et des générateurs de sons et à bout de souffle en essayant de suivre l'évolution de l'étape de la technologie, vous devez arrêter la lecture d'un synthé ou un plug-in et travailler avec elle six mois. expériences dans ce cadre défini pour explorer vos possibilités sonores. de sorte que vous pouvez définir votre style, car il vient toujours de vous-même et non pas de la machine ou instrument. "
http://www.deutschlandfunk.de/musiker-jean-michel-jarre-ich-bin-wie-ein-getriebener.807.de.html?dram:article_id=334714

Ce qui donne en chinois  Smiley :


Musicien Jean Michel Jarre
«Je suis comme un homme entraîné"


Jean Michel Jarre est un pionnier de la musique électronique. Avec ses débuts "Oxygene" il a décroché un énorme succès il y a près de 40 ans. Pour son nouvel album "Electronica" Jarre a demandé 30 international Electro-Stars de l'aide. Ensemble, ils avaient diffusé des secrets et a trouvé les endroits douloureux, il a dit la semaine Corso.

Jean Michel Jarre en conversation avec Thomas Elbern


Thomas Elbern: Electronic Music aujourd'hui est principalement produite seul devant l'ordinateur. Pour leur nouvel album , ils ont adopté une approche différente et leurs partenaires musicaux tels que Moby, Hans Zimmer, Pete Townshend et Vince Clarke visités dans leurs studios et ont travaillé ensemble avec eux.
Kamen dans cette approche personnelle des résultats différents sur?

Jean Michel Jarre: L'approche est similaire à la façon dont nous parlons tous les deux même ensemble. Nous sommes assis en face de nous et pouvons - nous regarder dans les yeux. Serions nous appelons, ce serait autre chose ..... cela changerait tout. Et si vous êtes dans une pièce est ensemble dans un processus de création, qui est aussi autre chose. Ensemble pour travailler dans une pièce, fait une grande différence; Soundfiles au lieu d'envoyer avant et en arrière. Et cela n'a rien à voir avec la technologie, mais est tout à fait hors du temps.
Avant l'Internet, il y avait le téléphone, avant qu'il y ait la carte postale ...... il n'a fait aucun changement à ce que, si vous vous asseyez ensemble et conjointement . processus créatif connu ensemble qui viennent d'autres choses de la
musique électronique de décision est souvent de toute façon une chose assez solitaire: vous êtes seul dans votre studio, un peu comme le peintre dans son atelier.
les secrets, les points douloureux qui possèdent approche du son .... une expérience que si vous travailler ensemble avec les autres. Je suis incroyablement reconnaissante que si différents musiciens tels que Massive Attack, Air, Moby, Gary Newman, Vince Clarke, Tangerine Dream et Boysnoize ont été impliqués.
Ils ont tous convenu dans cette expérience, qui est mon CD actuel, ce moment très personnel avec moi partager et créer. Et bien sûr, les résultats ont été très différents.

Elbern: Ils sont souvent désignés comme un pionnier de la musique électronique. Lorsque son album "Oxygene" milieu des années soixante - dix succès est apparu, cependant, il y avait déjà des groupes comme Kraftwerk, Klaus Schulze, Tangerine Dream ou Wendy Carlos. Vous avez dit dans une interview qu'ils sont entrés territoire complètement nouveau avec leur musique ... Ils pensaient donc en France ou dans le monde entier?

Jarre: Vous avez raison, quand j'ai commencé dans les fin des années 60, il y avait déjà des groupes comme Tangerine Dream. Nous avons plus ou moins commencé en même temps. Quand je les enregistrements de "Electronica" rencontré Edgar Froese de Tangerine Dream, nous en avons parlé exactement. J'ai commencé encore plus tôt que Tangerine Dream avec l'électronique pur avant la développée d'un groupe de rock précisément dans ce sens. Quand j'ai commencé dans les fin des années 60, j'ai eu aucun contact avec des musiciens qui ont fait la même.
1974, quand je suis tout à fait quelques années ici, j'ai entendu pour la première fois "Autobahn" de Kraftwerk. Je pensais que c'est un groupe de la Californie qui chante en allemand. Je pensais que c'était tellement cool que chanter soi - disant en allemand et Américains sonner comme une version techno des Beach Boys. Je dis la raison, de montrer ce qu'il était comme: étaient tous très occupés avant l'invention de l'Internet, où nous avons vécu tous les rats comme étrangers ou fous dans nos caves et pas vraiment connecté.

Elbern: Votre album Oxygene était dans une sorte de prédécesseur des studios à la maison d'aujourd'hui. Comment était - ce quand il n'y avait pas d' ordinateurs, pas d' Internet et pas de budget pour enregistrer dans un grand studio?

Jarre: Avant que je travaillais sur Oxygene début des années 70, je me trouvais à la maison dans la musique électronique expérimentale. Mais je voulais construire un pont entre la musique expérimentale et la musique pop. Auparavant , je l' avais déjà joué et a constaté que les mélodies sont l'élément le plus important dans la musique dans des groupes de rock. Au début de la musique électronique , tout était beaucoup plus abstraite, intellectuelle et dogmatique comme dans la musique pop.
Pour l'album "Oxygene" J'avais alors exactement deux synthétiseurs disponibles. Parce que j'avais un cadre financier et technique limité qui aussi il n'y avait pas tant de synthétiseurs à l' époque. Contrairement à aujourd'hui, les grands studios ont été la mesure de toutes choses. Comme vous vous êtes assis sur un côté dans l'espace de réception et derrière le verre assis Toningineur et pourrait jouer à Dieu.
Un studio à la maison n'a pas été pris au sérieux. Aujourd'hui, il est exactement l'inverse. Aujourd'hui , pour produire de la musique, qui est un genre de situation de studio à domicile, tandis que les grands studios sont maintenant seulement tenus de tirer, par exemple, une symphonie ou deux musiciens simultanément.

Les artistes vont autrement avec le temps

Elbern: pour mettre la musique électronique sur scène, pas une tâche facile dans les moments où il n'y avait pas d' ordinateur portable. Effets Visuels, la harpe laser, feux d' artifice, un écran géant avec des projections ayant leurs concerts toujours identifiés. Quelle idée était derrière leur émission en direct? Était - ce, comme Pink Floyd à ce moment - là, l'idée d'un spectacle complet?

JARRE: Peut - on dire! A cette époque , il n'y avait pas beaucoup de musiciens qui ont fait cela. Si vous voyez ce grand festival de musique électronique aujourd'hui, il ressemble un peu à ce que je faisais il y a 30 ans. Les groupes de rock comme les Rolling Stones ou U2 a joué au début avec un spectacle de lumière simple et voilà. Et tout à coup eu tout cela visuellement somptueux productions. Ainsi commença Pink Floyd et je beaucoup plus tôt.
Je me souviens d' une interview télévisée avec Pink Floyd devant les hommes jetant une grande pause. Le batteur Nick Mason a plaisanté, nous entendons seulement les temps, maintenant , nous avons Jean Michel Jarre priorité.

Elbern: Ils ont été le premier musicien pop européenne, ou peut - être la première dans le monde de 1981, réalisé la musique électronique en direct en Chine. Comment était - ce alors?

Jarre: Pour faire une longue histoire à comparaître en Chine à cette époque était de jouer comme sur la lune. Cela était vrai pour moi, mais aussi pour le public chinois. Imaginez un pays où les gens ont été coupés de 25 ans à partir de la culture occidentale. Les spectateurs ne connaissaient pas de Beatles, pas Elvis Presley ou Charlie Chaplin. Toute la culture pop était allé devant eux.
Le genre de spectacle que je devais à ce moment - conçu, déjà à Londres, Berlin, Paris ou New York était nouveau, de sorte que vous avait comme , a fortiori , jamais vu en Chine. Ce fut un choc fantastique et pour moi l' un des concerts les plus extraordinaires que j'ai jamais joué. Il était comme sur une autre planète ...

Elbern: Pour moi , tu as toujours été une chose telle que la musique électronique Beau, comme Bryan Ferry pour Pop.Sie 67.Wie sont maintenant viennent ils fait clair avec le vieillissement et tous les effets secondaires?

JARRE: moi d' abord est un grand honneur que vous me comparez avec Bryan Ferry. J'ai toujours aimé cette image Dandy de lui qu'il a introduit dans la musique rock et pop.
Je pense que les artistes ont une relation différente avec le temps. Mon dernier album est sous - titré "time machine". Je ne veux pas le passé ou l'avenir, mais plutôt traiter avec le temps. Les
artistes vont autrement avec le temps, ils ne remarquent même pas jusqu'à ce qu'elle aille. Mon travail a beaucoup à voir avec la dépendance, rien ne me concerne plus. Je ne fais pas de la musique pour moi de se divertir, mais parce que je ne peux rien. Je suis comme un homme poussé.
Il est un mélange de frustration et d' espoir. La frustration d'avoir à nouveau pas atteint ce que je voulais et espère que ce n'est pas si mauvais la prochaine fois et me donne moins de douleur est. L'espoir d'un jour pour réaliser l'album idéal. Cela allait toujours dans ma tête. Ceci est mon moteur, mon âme à faire ... un jour cet album. Ce ne sera probablement jamais arriver.

// Déclarations de nos interlocuteurs donnent à nouveau leurs propres points de vue. La radio Allemagne rend les énoncés de ses interlocuteurs dans les entrevues et les discussions ne pas adopter.