[#0000ff] http://www.sibanac.net/ site tres complet... www.eolia.org site de l'association tekosnet, dont le but est de sensibiliser au nettoyage des lieux aprés une soirée musicale extérieure, et aussi d'inciter les participants de ces soirées au respect de la nature... http://tekosnet.eurower.net/ http://mastekush.ovh.org/ http://sidarmor.free.fr/ merci Just Vanessa de m avoir permise de poster tout ces ptits liens[/#009b63] :)">

Prevention & Reduction des Risques

ouai sauf que pour un drogué en manque de drogue, bah la réalité dans ce cas c' est carrément un fauteuil roulant.

Voila ce que je reponds au mec qui a dit ca.

Avant de donner des leçons.....déjà qu' ils apprenent à se gerer
naja wrote :


Ben, moi, j'ai essayé, quand j'étais très jeune (et très con ...) mais ça m'a rien fait (si, j'ai toussé pendant 5 minutes ...).

La banane n'est pas une drogue, à part peut-être pour cetraines demoiselles [:mygod] (avec le concombre), mais il suffit de leur racheter des piles pour qu'elle décrochent ...

Image


Tout est bon, tout est poison...  tout dépend de la dose Smiley
vive les nuits blanche sans drogues , les matiné sont plus folles Smiley
Just Vanessa wrote :

Et apprends a te gérer toi !  Smiley
Tu lis les sujets parfois ?
Visiblement non!

Attends...... moi je reponds juste a la phrase entre guillemet.....j' ai le droit non?

tt facon par des conneries on reponds des conneries  Smiley  Smiley  Smiley  Smiley
Smiley
Star-Ray(Galactic) wrote :

Attends...... moi je reponds juste a la phrase entre guillemet.....j' ai le droit non?

tt facon par des conneries on reponds des conneries  Smiley  Smiley  Smiley  Smiley



galactic powaaaaaaaa Smiley  Smiley
Faites aussi attention aux drogues que prescrivent les medecins...legal mais dangereux  Smiley
attention aussi aux cons(je ne vise personne), ça peut-être aussi trés dangereux. Smiley  Smiley
naja wrote :


Ben ça dépend encore ... Voyons, disons que le surveillant de l'exam est une femme et que Crocell s'amuse à ingurgiter un tel mélange pour passer son exam et ça doit donner quelque chose comme un Prince du Froid chaud comme la braise qui se fait virer de la salle pour attentat à la pudeur et harcèlement sexuel  Smiley
Allez, trêve de plaisanteries, Azarelle nous a fait un joli topic vraiment digne d'intérêt, arrétons le [:offtopic]

T'as trop joué à INS, j'suis pas prince du froid à part dans les delires de Crok Smiley Smiley Smiley
mag wrote :
attention aussi aux cons(je ne vise personne), ça peut-être aussi trés dangereux. Smiley  Smiley


J'ai une SUPER RECETTE en ce qui concerne la prévention des risques liés à ce genre de mauvais délire que sont les cons :

1 faire en sorte de remonter légèrement les deux extrémités de sa bouche afin qu'elle prenne la forme d'une banane (on y reviens donc ... à la banane, come quoi ... Smiley )
2 en même temps (et j'insiste sur le "en même temps" ...) commencer avec la tête un léger mouvement de va et vient, de haut en bas et inversement ...
3 éventuellement, lacher un "oué" ou deux (seulement si vous êtes confrontés à un ce que l'on appelle un gros con ...).

Voilà, simple et efficace, ça marche presque à tous les coups ...
«En quête d'action W9» propose quatre reportages sur les effets des drogues les plus consommées en France.
Au sommaire :
"Ecstasy". L'ecstasy est de plus en plus répandue et accessible aujourd'hui.
Qui sont les consommateurs de cette drogue ?
Quels sont les effets ?
"Cannabis". Le cannabis est le premier produit illicite consommé en France.
Légalisé chez certains de nos voisins européens, il y est proposé sous des formes diverses et variées.
"Le joint qui rend fou". Patrick, dix-huit ans, revient sur le jour où il s'est défenestré après avoir fumé son premier joint.
"Fumer ou conduire".
On connaît bien les effets néfastes de l'alcool sur la conduite.
En revanche, on connaît mal ceux du cannabis.

redif: dimanche 27 novembre à 13h30
frOm Keep SmilinG

Message d'alerte, pilules d'ecstasy fortement dosées


Veuillez trouver ci-joint un message d'alerte sur base d'une information
communiquée par l'ISP.

CTB - ODB

Message Alerte Précoce du 4 novembre 2005

L’information diffusée via le réseau EWS est en premier lieu destinée à tous les professionnels du secteur sociosanitaire qui entrent en contact avec des usagers de drogues.

Cette information est destinée à être diffusée auprès de leur public d’usagers de drogues mais n’est pas destinée à une diffusion dans les média.

DRUGS - EARLY WARNING SYSTEM SYSTEME D’ALERTE PRECOCE

· CIRCULATION DE PILULES D’ECSTASY FORTEMENT DOSEES

Dans le cadre du système d’alerte rapide, nous vous faisons part de la circulation et de l’analyse de pilules d’ecstasy fortement dosées en MDMA. Le comprimé analysé provenait de la province de Namur et a été collecté le 24 octobre 2005.

·Dénomination: pas d’information
Description : Forme : Triangulaire
Couleur : bleu-turquoise
Logo : Mitsubishi
Ligne de séparation : non
Longueur des côtés 10,58 mm
Epaisseur moyenne : 3,94 mm
Poids moyen : 328,6 mg.


http://www.mezimages.com/vosimages/158617/xta.jpg

Teneur en MDMA 152,8 mg
Teneur en MDEA 5,59 mg
Teneur en MDA 3,3 mg
COMMENTAIRES

Cette pilule est particulièrement volumineuse et contient une quantité importante de MDMA.

Elle contient en outre de la MDEA et MDA. Son caractère non sécable peut faire craindre que les consommateurs la prendront plus facilement en une fois qu’en morceaux.

Le risque est d’autant plus important que souvent les consommateurs d’ecstasy prennent plusieurs pilules à la fois.

· Vu le caractère artisanal de la fabrication des pilules on estime que dans un même lot laconcentration de certaines pilules varie et peut atteindre plus de 200 mg.

· Le dosage habituel des comprimés « d’ecstasy » trouvés sur le marché belge oscille aux environs 50 mg mais est très variable de 2 - 3 mg à 100 mg.
Une alerte est donnée lorsque le dosage dépasse 120 mg.

· La présence de pilules fortement dosées en MDMA n’avait plus été signalée par le système d’alerte précoce belge depuis 2004.

· Vu la concentration anormalement élevée de ces pilules et les habitudes de consommation en Belgique, il existe un risque élevé de complications graves (convulsions, hyperthermie, coma) voir décès par overdose.

Si vous pouvez confirmer / infirmer ces tendances

Veuillez contacter Infor-Drogues (02 / 227.52.52.)
ou par e-mail à miguel.rwubusisi@eurotox.org

Merci d'avance.


ces cachets sont TRES puissants!!"galette"  Smiley assuré pour celui qui fait le malin...)
ux Etats-Unis, cette méthamphétamine aux effets dévastateurs est devenue la coke du pauvre.
Un fléau qui, parti de la côte Ouest, ravage désormais le cœur de l'Amérique rurale et gagne
les grandes villes de l'Est.
Tandis qu'aux apprentis chimistes succèdent les superlabos de la mafia


>[url=http://www.lexpress.fr/info/sciences/dossier/drogue/dossier.asp?ida=435867 ]La guerre du crystal[/url]<
tibolux wrote :
je vous conseil les reportage d'arté que l'on peut trouver sur l'âne, surtout celui sur le LSD/MDMA, asser instructif...

en gros pour le LSD, aucune dépendance (a part l'envie d'en reprendre si ca vous a plu lol comme du chocolat), pas de déstruction neuronale, par contre le MDMA serait une des PIRE drogues pour ce qui est de la destruction des neurones à dopamine !

il y a ds ce reportage des interviews sympathique ! voila, à voir !

Faut pas non plus oublier les conséquences psychologiques du LSD qui sont pas forcement géniales....
Just Vanessa wrote :

comme pour pas mal de choses... cela dépend de ton etat d'esprit, du lieu, de la facon dont c fait... !
il n'y a pas "forcément" risque psychologique
Smiley

C'est sûr...
Mais tout le monde ne fait pas forcement attention...
Cannabis au volant, crash au tournant !!

Moins dangereuse que la consommation d’alcool, la fumette doublerait tout de même les risques d’accidents mortels.
Et l’association alcool et joint multiplierait ce danger par 14 ! Près de deux ans après la loi pénalisant les conducteurs-fumeurs, découvrez le réel impact du cannabis au volant.


Deux ans fermes et 4 500 € d’amende : telle est la peine maximale encourue par un conducteur qui provoquerait un accident sous l’emprise du cannabis.
La   loi de janvier 2003 avait durci les peines pour les drogues douces, les transformant en délit au même titre que l’alcool.

Mais quel est le réel impact de ce stupéfiant sur les conducteurs ?

40 % des jeunes tués sur la route positifs au cannabis

Sous la direction du Pr. Mura, président de la société française de toxicologie analytique et président de la commission "Drogue et conduite automobile"les résultats d’analyses sanguines effectués par 12 laboratoires sur des conducteurs de moins de 30 ans décédés lors d’accidents de la route ont été compilés entre 2003 et 20041.
Sur les 2003 analyses, le cannabis est de loin la drogue la plus souvent retrouvée : 793 échantillons étaient positifs aux cannabinoïdes (soit près de 40 %), et plus d’un tiers (28,9 %) contenaient encore des traces de THC, le principal composé actif de cette drogue.
Dans quatre cas sur cinq (80,2 %), le cannabis était le seul stupéfiant révélé parmi ceux recherchés (héroïne, cocaïne, amphétamines).
Comparés aux chiffres de 2001, ces résultats témoignent d’un doublement de la consommation de cannabis (28,9 % contre 16,9 %).

Selon les auteurs, la prévention routière doit rapidement s’appuyer sur des contrôles de consommation des drogues pour le cannabis, mais également la cocaïne ou l’ecstasy, dont les consommations sont également en augmentation (respectivement 3 % en 2004 contre 0,2 % en 2001 et 3,1 % contre 1,4 %).

Sur la route, le cannabis tue dix fois moins que l’alcool

L’Observatoire français des drogues et toxicomanie (OFDT) a coordonné de son côté l’enquête Sécurité routière et accidents mortels (SAM)2, durant laquelle la présence d’alcool et de cannabis avait été recherché chez plus de 11 000 conducteurs impliqués dans des accidents mortels entre octobre 2001 et septembre 2003. Résultat : la consommation des deux produits est sensiblement identique.
Les accidents mortels sont attribués dans 2,5 % des cas à la fumette et dans 28,6 % des cas à l’alcool.
Si la consommation d’alcool multiplie le risque d’accident mortel par 8,5, l’abus de joints doublerait le risque d’avoir un accident mortel (avec une relation dose-effet : plus on fume, plus on risque le carton).
L’association des deux s’avèrerait particulièrement nocive, puisqu’elle multiplierait le risque d’accident mortel par 14 ! Les jeunes hommes de moins de 25 ans seraient les plus nombreux à conduire sous l’influence du cannabis (1 sur 10) et/ou de l’alcool.
Selon cette étude, bien que nocif, le cannabis est donc quatre fois moins dangereux que l’alcool et occasionne 10 fois moins de morts.

Nouvelle campagne de prévention en 2006

Combien de jeunes conduisent réellement sous l’influence du cannabis ? En terme de priorité de la sécurité routière, l’intérêt porté au cannabis est-il disproportionné au regard des méfaits de l’alcool ?….
Au-delà des critiques faites aux différentes études (absence de recherche de l’alcool ou d’autres paramètres pour l’étude du Pr. Mura, résultats datant de 2003 pour l’étude de l’OFDT…), les apôtres du catastrophisme ou du laisser-faire en sont pour leurs frais.
Ces études confirment bien un lien entre cannabis et accident de la route, même s’il est moins important que celui de l’alcool.

A la lumière de ces études, l’Académie nationale de Pharmacie encourage les pouvoirs publics à appliquer et même renforcer la réglementation "en tenant compte des acquis les plus récents de la recherche scientifique" : ce qui veut dire l’abaissement du seuil minimum de THC sanguin de 1 ng/ml à 0,5 ng/ml, l’analyse du cannabis dans les cheveux comme marqueur d’une exposition chronique avant la restitution du permis de conduire et la généralisation des tests salivaires.
Délégué interministériel à la sécurité routière, Rémy Heitz a indiqué qu’après la campagne de prévention engagée en 2005, une nouvelle action de communication contre le cannabis au volant serait engagée en 2006.
Le Ministre des transports, Dominique Perben a insisté sur le fait que le nombre de contrôles est passé de 3 000 en 2003 à 16 000 en 2005, des chiffres qui selon lui, traduisent une mobilisation indéniable malgré la difficulté de pouvoir bénéficier aujourd’hui de tests salivaires efficaces.
De son côté, le ministre de l’intérieur aurait toujours dans ses cartons une révision de la loi de 1970 sur les stupéfiants.

Cannabis au volant, crash au tournant ! - suite...
azarelle wrote :
l’analyse du cannabis dans les cheveux comme marqueur d’une exposition chronique avant la restitution du permis de conduire  

Smiley  Smiley  Smiley  Damned!!! ça se voit qu'il n'existe pas le lobby de l'industrie du canabis!!!, j'aimerais bien voir ça un jour pour l'alcool...
L'inventeur du LSD fêtera ses 100 ans

Albert Hoffmann a mis au point le LSD il y a 60 ans, dans les laboratoires
Sandoz, à Bâle.

Le chimiste suisse Albert Hofmann, qui a découvert par hasard le LSD il y
plus de 60 ans, fête mercredi son centième anniversaire. Il n'imaginait pas
que cette drogue aux effets hallucinogènes le ferait passer à la postérité
comme «M. LSD».
Il ne se dit toutefois pas surpris d'être entré dans l'histoire pour ce
produit, alors qu'il en a élaboré d'autres.
Né en 1906 à Baden (AG), Albert Hofmann a travaillé comme chercheur dans les
laboratoires pharmaceutiques du groupe bâlois Sandoz de 1929 à 1971. Ses
travaux ont aussi conduit à des médicaments à succès comme le Methergin,
l'Hydergin ou le Dihydergot.

"Pas surpris"
Interrogé par l'ATS, le chimiste aujourd'hui installé à Leimental près de
Bâle n'est toutefois pas surpris d'être entré dans l'histoire uniquement
comme «M. LSD». C'est «tout de même un produit spécial» puisqu'il agit sur
la conscience, qui nous distingue des animaux.

Sous l'emprise du LSD, on voit, on entend et on sent différemment, de
manière très intense, et ce dès une dose infirme, relève Albert Hofmann.
Lui-même a fait le premier trip par hasard, le 16 avril 1943, en étudiant
les alcaloïdes de l'ergot du seigle afin de créer un stimulant circulatoire
et respiratoire.
La goutte magique
Cinq ans après avoir découvert un 25e composé, le diéthylamide de l'acide
lysergique (LSD 25), Albert Hofmann en fait tomber par inadvertance une
goutte sur la main. Il est alors troublé par d'étonnantes sensations:
angoisse, vertiges, visions surnaturelles, objets se mouvant dans l'espace,
sentiment de bonheur et de gratitude. Un nouveau test produit les mêmes
effets trois jours après.

A cette époque, Albert Hofmann n'imagine pas que sa découverte sera
glorifiée par des millions de personnes, écrit-il dans son livre «LSD, mon
enfant terrible». Pour lui, la substance sera utile en psychiatrie ou en
neurologie. Entre 1947 et 1966, Sandoz va d'ailleurs produire du LSD en
dragées et en ampoules destinées au corps médical.

Mais des abus lui donnent mauvaise réputation. Surtout aux Etats- Unis, le
LSD devient au début des années 1960 la drogue numéro un dans le mouvement
hippie. Elle finit par être interdite et Sandoz cesse de la produire.
L'interdiction aux Etats-Unis est malheureusement beaucoup plus sévère que
pour beaucoup d'autres substances dangereuses, commente le chercheur.
Pas pour rire
Le LSD n'est pas une «drogue de plaisir», son absorption à la légère peut
être «extrêmement dangereuse», prévient son inventeur. Le LSD a des effets
similaires à des «drogues sacrées utilisées au Mexique». Comme certaines
d'entre elles, il peut toutefois produire des miracles s'il est intégré à
une cérémonie rituelle avec l'accompagnement nécessaire.

Albert Hofmann renvoie d'ailleurs aux succès thérapeutiques enreigstrés avec
le LSD en psychanalyse avant l'interdiction de la substance. Depuis, des
scientifiques américains et européens de premier plan se sont prononcés pour
un assouplissement de l'interdiction du LSD dans la recherche et en
thérapie.
Scène rave

Alors que les efforts de réhabilitation scientifique piétinent, le LSD a
déjà fait un retour sur la scène de la drogue. Dans les années 1990, il est
brièvement revenu à la mode sur la scène rave.


http://www.lsd.info/symposium/home-en
ptit expérience pas très sympathique ...


[citation]Je me sens dans l'obligation de vous raconter ce qui vient de m'arriver, non seulement à titre préventif, mais aussi afin d'exorciser le cauchemard que je viens de vivre.
Samedi 15 janvier, 23h00 : j'arrive au germinal, a Bourges, pour une soirée DST, Infrabass et je sais pas quel autre son.
Samedi 15 janvier, 23h10 : j'achète deux shivas (des peutri) a un type croisé sur le parking, j'en bouffe un et je garde l'autre.

Samedi 15 janvier, 00h00 : ca y est, le trip monte, oui je le sens bien monter ca fait aucun doute il a l'air costaud "je vais me prendre une de ces claques" me dis-je ...
Dimanche 16 janvier, 01h00 ou peut etre 2, ou même 3 je n'en sais strictement rien : je pars en trip intégral avec un de mes potes, quasi aussi défoncé que moi (entre temps j'ai avalé un autre demi buvard, soit 1.5 au total)

Dimanche 16 janvier , vers 03h00 : je rentre en contact télépathique avec mes potes, mon âme se dissocie totalement de mon corps, je me vois faire ma propre introspection, et je vois mes potes faire la leur.
Sur le coup bien sûr, tout ce que je vis est réel, je suis en train d'accéder a un niveau de conscience jusque là inconnu.
Dimanche 16 janvier, un peu plus tard : je suis complètement défoncé, je comprends plus rien, je n'ai plus rien a quoi me rattacher, j'ai quitté la salle, mes potes sont restés et pourtant je continue de discuter avec eux, on accede tous ensemble a ce niveau de conscience supérieure : la vie telle qu'on l'a connu jusque là n'est qu'illusion, la vraie vie est celle de notre esprit (la je commence a vraiment péter un plombs, a tel point que j'ai du mal a retranscrire exactement ce que j'ai vécu).

Dimanche 16 janvier, encore un peu plus tard : je fais n'importe quoi, je erre sans but, sans savoir ou aller, je ne sais que faire pour que ces esprits avec qui je suis "rentré en communion" arrêtent de me tourmenter
Dimanche 16 janvier, encore un peu plus tard : je me dis que ca y est, le niveau auquel je viens d'accéder ne me permettra plus jamais de redescendre parmis les pauvres mortels, je suis dans un autre monde, qui depasse toute conception physique.

Jusque la, on pourrait se dire "waw il s'est payé une sacré défonce le type".

Mais c'est loin d'être terminé.
Conscient du fait que je ne pourrais jamais redescendre sur terre, je dois me faire a l'idée que je suis resté kéblo, comme ces histoires de types qui ont tapé je sais pas quelle saloperie une fois, rien qu'une fois, et qui se sont retrouvés à l'HP.
Je commence a prendre conscience que ma vie telle que je l'avais vécue avant, jamais plus je ne pourrais y accéder a nouveau : je suis fou !
Ma vie telle que je la concois alors n'est plus qu'une illusion, je nage en plein délire, c'est un véritable CAUCHEMARD.

Je commence a me maudir d'avoir bouffé cette saloperie, je n'arrive pas a me faire a l'idée que ca y est, je suis fou et plus jamais je ne pourrais redevenir commme avant. Je marche, je crie, je hurle en pleine rue, je m'insulte, je me frappe, je deviens completement hystérique.

Et la solution m'aparait soudain claire, evidente, comment ne pas y avoir pensé plus tot : le seul moyen de faire cesser ce cauchemard, c'est de me foutre en l'air.
Par chance (nottez le ton ironique) j'ai les clefs de ma voiture, ou plutot de celle de ma mere dans la poche : sauvé, me dis-je, j'ai le moyen de mettre un terme a cette horreur.
Malgré tout, meme au plus fort de mon angoisse, je pense a ce que represente mon suicide, pour mes parents, pour les choses que j'avais prévu de faire plus tard. Seulement ces rares moments de lucidité sont noyés dans un flot d'incertitudes :
Rien de ce que j'ai vécu avant, etudes, parents, potes, n'est vrai.
Alors apres tout pourquoi avoir peur d'arreter la, maintenant.
Soulagé d'avoir trouvé une potentielle issue de secours, je cours vers la voiture, vers la liberation, vers le moment ultime : je vais enfin savoir l'effet que procure la mort !

Je monte dans la voiture, allume le contact, marche arriere, marche avant et vingt metres plus loins dans le mur.
Je sors, des gens autour de moi me parlent je les entends me dire que ca y est, je suis dans le monde réel, le vrai monde tel que personne ne peut le connaitre.
Toutes ces personnes qui sont autour de moi et qui s'occupent alors de moi (les pauvres ...) me parlent, ou est ce mon esprit qui les fait parler a leur place : ils me disent que ca y est j'y suis, j'ai compris, que maintenant que je sais, tout va bien se passer, il va juste falloir que je m'habitue a ma nouvelle existence.
Bien evidemment, en realité, les pauvres devaient etre terrifiés, surtout qu'entre temps, vu que j'avais gaché ma seule possibilité de mettre fin a ma vie en plantant la caisse, je me suis eclaté la tronche contre une barriere en fer (
putain de cicatrice d'ailleurs) et je me suis jetté par dessus le pont direct dans la riviere.

Donc me voila, couvert de sang, trempé et gelé comme une merde, redecouvrant la vie.
Des moments d'angoisse succèdent des moments d'une incroyable sereineté: j'aime les gens qui m'entourent, qui accompagnent mon arrivée dans ce nouveau monde, puis je les hais (d'ailleurs, grosse question : est ce que j'ai mis un coup de baton a un type ?).
Je tiens d'ailleurs a remercier une certaine marie (les autres aussi, je ne sais plus leur nom) qui essayait tant bien que mal de me rassurer.
Grosse incompréhension en ce sens que je me coyai libéré de ma contrainte corporelle, et pourtant je ressentait le froid qui me congelait litéralement: étais-je reellement reduit a mon simple esprit, ou est ce que mon corps avait encore une importance pour moi ?

Toujours est-il que ma seule preocupation a été de me rechauffer, et fatalement je me suis dirigé vers la salle.
Etant encore dans mon monde imaginaire, tous les gens qui m'entouraient a present dans le hall faisaient egalement partie de cet univers, univers dans lequel les gestes n'avaient plus aucune importance.
J'ai craqué, j'ai essayé de rentrer dans les vigiles, j'ai frappé un type (sincèrement désolé), puis je me suis affalé par terre et les gens m'ont couvert de leurs vetements.

Le plus horrrible dans tout ca, c'est que je voulais malgré tout redescendre, et j'étais persuadé que tous les gens autour de moi s'y opposaient, et faisaient tout pour m'en empecher : grosse crise de paranoïa, l'impression de nager dans un bordel dont jamais je ne pourrai me tirer. Et enfin quelqu'un se décide a m'amener aux urgences.

A partir de la je suis descendu petit a petit, meme si pendant les 2 ou 3 premieres heures qui j'y ai passé j'étais d'une part persuadé de rester kéblo a vie, et d'autre part que tout ce qui se passait sous mes yeux n'était qu'illusion.
Je pensai me reveiller un jour, peut etre 2,3 jours, 1 moi plus tard, dans un lit a l'HP, condamné a vivre comme ca jusqu'a la fin.

Voila apres j'ai fini par redescendre completement, meme si les effets du trip m'ont duré jusqu'a 17-18h, mais le bad trip était passé, je m'en étais sorti !

Je vous fais cadeau des 10 heures de bad trip qui ont suivi ma descente, remise en question enorme qui ne concerne que moi.

Alors voila tout ca pour dire quoi ? Ne prennez jamais de LSD !

Je n'en étais pas a me premiere prise, pas a ma centieme non plus, mais quand le bad trip arrive, TU PEUX RIEN FAIRE !!!

J'insite vraiment j'espere que mon histoire va vous toucher, parce que c'est traumatisant, j'aurais pu mourir, ou meme tuer quelqu'un en voiture.
Et pourtant j'avais deja entendu des temoignages des gens qui ont connu des bad trip, je trouvais ca horrible, et en meme temps je n'y croyai pas une seconde.
Dans ma tete y'avait toujours moyen de controler.
[b]Mais non un bad trip c'est incontrolable tu perds pieds totalement C'EST INCONTROLABLE.

Alors voila j'ai 20 ans j'ai failli crever hier, et vraiment mais vraiment ceux qui liront ce post faites gaffe a vous NE TOUCHEZ PAS A CA !

Nico.
 

[/citation]
azarelle wrote :
ptit expérience pas très sympathique ...


[citation]Je me sens dans l'obligation de vous raconter ce qui vient de m'arriver, non seulement à titre préventif, mais aussi afin d'exorciser le cauchemard que je viens de vivre.
Samedi 15 janvier, 23h00 : j'arrive au germinal, a Bourges, pour une soirée DST, Infrabass et je sais pas quel autre son.
Samedi 15 janvier, 23h10 : j'achète deux shivas (des peutri) a un type croisé sur le parking, j'en bouffe un et je garde l'autre.

Samedi 15 janvier, 00h00 : ca y est, le trip monte, oui je le sens bien monter ca fait aucun doute il a l'air costaud "je vais me prendre une de ces claques" me dis-je ...
Dimanche 16 janvier, 01h00 ou peut etre 2, ou même 3 je n'en sais strictement rien : je pars en trip intégral avec un de mes potes, quasi aussi défoncé que moi (entre temps j'ai avalé un autre demi buvard, soit 1.5 au total)

Dimanche 16 janvier , vers 03h00 : je rentre en contact télépathique avec mes potes, mon âme se dissocie totalement de mon corps, je me vois faire ma propre introspection, et je vois mes potes faire la leur.
Sur le coup bien sûr, tout ce que je vis est réel, je suis en train d'accéder a un niveau de conscience jusque là inconnu.
Dimanche 16 janvier, un peu plus tard : je suis complètement défoncé, je comprends plus rien, je n'ai plus rien a quoi me rattacher, j'ai quitté la salle, mes potes sont restés et pourtant je continue de discuter avec eux, on accede tous ensemble a ce niveau de conscience supérieure : la vie telle qu'on l'a connu jusque là n'est qu'illusion, la vraie vie est celle de notre esprit (la je commence a vraiment péter un plombs, a tel point que j'ai du mal a retranscrire exactement ce que j'ai vécu).

Dimanche 16 janvier, encore un peu plus tard : je fais n'importe quoi, je erre sans but, sans savoir ou aller, je ne sais que faire pour que ces esprits avec qui je suis "rentré en communion" arrêtent de me tourmenter
Dimanche 16 janvier, encore un peu plus tard : je me dis que ca y est, le niveau auquel je viens d'accéder ne me permettra plus jamais de redescendre parmis les pauvres mortels, je suis dans un autre monde, qui depasse toute conception physique.

Jusque la, on pourrait se dire "waw il s'est payé une sacré défonce le type".

Mais c'est loin d'être terminé.
Conscient du fait que je ne pourrais jamais redescendre sur terre, je dois me faire a l'idée que je suis resté kéblo, comme ces histoires de types qui ont tapé je sais pas quelle saloperie une fois, rien qu'une fois, et qui se sont retrouvés à l'HP.
Je commence a prendre conscience que ma vie telle que je l'avais vécue avant, jamais plus je ne pourrais y accéder a nouveau : je suis fou !
Ma vie telle que je la concois alors n'est plus qu'une illusion, je nage en plein délire, c'est un véritable CAUCHEMARD.

Je commence a me maudir d'avoir bouffé cette saloperie, je n'arrive pas a me faire a l'idée que ca y est, je suis fou et plus jamais je ne pourrais redevenir commme avant. Je marche, je crie, je hurle en pleine rue, je m'insulte, je me frappe, je deviens completement hystérique.

Et la solution m'aparait soudain claire, evidente, comment ne pas y avoir pensé plus tot : le seul moyen de faire cesser ce cauchemard, c'est de me foutre en l'air.
Par chance (nottez le ton ironique) j'ai les clefs de ma voiture, ou plutot de celle de ma mere dans la poche : sauvé, me dis-je, j'ai le moyen de mettre un terme a cette horreur.
Malgré tout, meme au plus fort de mon angoisse, je pense a ce que represente mon suicide, pour mes parents, pour les choses que j'avais prévu de faire plus tard. Seulement ces rares moments de lucidité sont noyés dans un flot d'incertitudes :
Rien de ce que j'ai vécu avant, etudes, parents, potes, n'est vrai.
Alors apres tout pourquoi avoir peur d'arreter la, maintenant.
Soulagé d'avoir trouvé une potentielle issue de secours, je cours vers la voiture, vers la liberation, vers le moment ultime : je vais enfin savoir l'effet que procure la mort !

Je monte dans la voiture, allume le contact, marche arriere, marche avant et vingt metres plus loins dans le mur.
Je sors, des gens autour de moi me parlent je les entends me dire que ca y est, je suis dans le monde réel, le vrai monde tel que personne ne peut le connaitre.
Toutes ces personnes qui sont autour de moi et qui s'occupent alors de moi (les pauvres ...) me parlent, ou est ce mon esprit qui les fait parler a leur place : ils me disent que ca y est j'y suis, j'ai compris, que maintenant que je sais, tout va bien se passer, il va juste falloir que je m'habitue a ma nouvelle existence.
Bien evidemment, en realité, les pauvres devaient etre terrifiés, surtout qu'entre temps, vu que j'avais gaché ma seule possibilité de mettre fin a ma vie en plantant la caisse, je me suis eclaté la tronche contre une barriere en fer (
putain de cicatrice d'ailleurs) et je me suis jetté par dessus le pont direct dans la riviere.

Donc me voila, couvert de sang, trempé et gelé comme une merde, redecouvrant la vie.
Des moments d'angoisse succèdent des moments d'une incroyable sereineté: j'aime les gens qui m'entourent, qui accompagnent mon arrivée dans ce nouveau monde, puis je les hais (d'ailleurs, grosse question : est ce que j'ai mis un coup de baton a un type ?).
Je tiens d'ailleurs a remercier une certaine marie (les autres aussi, je ne sais plus leur nom) qui essayait tant bien que mal de me rassurer.
Grosse incompréhension en ce sens que je me coyai libéré de ma contrainte corporelle, et pourtant je ressentait le froid qui me congelait litéralement: étais-je reellement reduit a mon simple esprit, ou est ce que mon corps avait encore une importance pour moi ?

Toujours est-il que ma seule preocupation a été de me rechauffer, et fatalement je me suis dirigé vers la salle.
Etant encore dans mon monde imaginaire, tous les gens qui m'entouraient a present dans le hall faisaient egalement partie de cet univers, univers dans lequel les gestes n'avaient plus aucune importance.
J'ai craqué, j'ai essayé de rentrer dans les vigiles, j'ai frappé un type (sincèrement désolé), puis je me suis affalé par terre et les gens m'ont couvert de leurs vetements.

Le plus horrrible dans tout ca, c'est que je voulais malgré tout redescendre, et j'étais persuadé que tous les gens autour de moi s'y opposaient, et faisaient tout pour m'en empecher : grosse crise de paranoïa, l'impression de nager dans un bordel dont jamais je ne pourrai me tirer. Et enfin quelqu'un se décide a m'amener aux urgences.

A partir de la je suis descendu petit a petit, meme si pendant les 2 ou 3 premieres heures qui j'y ai passé j'étais d'une part persuadé de rester kéblo a vie, et d'autre part que tout ce qui se passait sous mes yeux n'était qu'illusion.
Je pensai me reveiller un jour, peut etre 2,3 jours, 1 moi plus tard, dans un lit a l'HP, condamné a vivre comme ca jusqu'a la fin.

Voila apres j'ai fini par redescendre completement, meme si les effets du trip m'ont duré jusqu'a 17-18h, mais le bad trip était passé, je m'en étais sorti !

Je vous fais cadeau des 10 heures de bad trip qui ont suivi ma descente, remise en question enorme qui ne concerne que moi.

Alors voila tout ca pour dire quoi ? Ne prennez jamais de LSD !

Je n'en étais pas a me premiere prise, pas a ma centieme non plus, mais quand le bad trip arrive, TU PEUX RIEN FAIRE !!!

J'insite vraiment j'espere que mon histoire va vous toucher, parce que c'est traumatisant, j'aurais pu mourir, ou meme tuer quelqu'un en voiture.
Et pourtant j'avais deja entendu des temoignages des gens qui ont connu des bad trip, je trouvais ca horrible, et en meme temps je n'y croyai pas une seconde.
Dans ma tete y'avait toujours moyen de controler.
[b]Mais non un bad trip c'est incontrolable tu perds pieds totalement C'EST INCONTROLABLE.

Alors voila j'ai 20 ans j'ai failli crever hier, et vraiment mais vraiment ceux qui liront ce post faites gaffe a vous NE TOUCHEZ PAS A CA !

Nico.
 

[/citation]




j'ai vecu quasi la meme!
pourtant jamais je ne me permettrais de dire touchez pas au trip!
ce mec est tellement flippé qu'il fait peur aux autres!
le lsd lui a revelé ce qu'il ne voulait pas voir avant, ca a touché son inconscient il n'etait pas preparé a ca!
pour ma part il m'aura fallut 3 ans pour "descendre" d'une experience similaire, j'en ai grave morflé, et je ne souhaite a personne d'en arriver la!
mais je pense qu'il manque grave de recul face a ce qu'il a vecu!
bref plutot que de dire n'y touchez pas, pour ma part je prefererais dire :faites le serieusement ou pas du tout!
c un produit dangereux, il n'y a aucun doute la dessus, mais sa condamnation est absurde!
j'espere que mon avis aura encore changé dans quelques années, je n'avais pas le meme il y a encore 1 an, mais il me semble tout de meme que ce garcon manque de maturité par rapport a son histoire, pour ne serait ce que la racconter au "grand public", il en devient aussi dangereux que le lsd lui meme!
azarelle wrote :
ptit expérience pas très sympathique ...


[citation]Je me sens dans l'obligation de vous raconter ce qui vient de m'arriver, non seulement à titre préventif, mais aussi afin d'exorciser le cauchemard que je viens de vivre.
Samedi 15 janvier, 23h00 : j'arrive au germinal, a Bourges, pour une soirée DST, Infrabass et je sais pas quel autre son.
Samedi 15 janvier, 23h10 : j'achète deux shivas (des peutri) a un type croisé sur le parking, j'en bouffe un et je garde l'autre.

Samedi 15 janvier, 00h00 : ca y est, le trip monte, oui je le sens bien monter ca fait aucun doute il a l'air costaud "je vais me prendre une de ces claques" me dis-je ...
Dimanche 16 janvier, 01h00 ou peut etre 2, ou même 3 je n'en sais strictement rien : je pars en trip intégral avec un de mes potes, quasi aussi défoncé que moi (entre temps j'ai avalé un autre demi buvard, soit 1.5 au total)

Dimanche 16 janvier , vers 03h00 : je rentre en contact télépathique avec mes potes, mon âme se dissocie totalement de mon corps, je me vois faire ma propre introspection, et je vois mes potes faire la leur.
Sur le coup bien sûr, tout ce que je vis est réel, je suis en train d'accéder a un niveau de conscience jusque là inconnu.
Dimanche 16 janvier, un peu plus tard : je suis complètement défoncé, je comprends plus rien, je n'ai plus rien a quoi me rattacher, j'ai quitté la salle, mes potes sont restés et pourtant je continue de discuter avec eux, on accede tous ensemble a ce niveau de conscience supérieure : la vie telle qu'on l'a connu jusque là n'est qu'illusion, la vraie vie est celle de notre esprit (la je commence a vraiment péter un plombs, a tel point que j'ai du mal a retranscrire exactement ce que j'ai vécu).

Dimanche 16 janvier, encore un peu plus tard : je fais n'importe quoi, je erre sans but, sans savoir ou aller, je ne sais que faire pour que ces esprits avec qui je suis "rentré en communion" arrêtent de me tourmenter
Dimanche 16 janvier, encore un peu plus tard : je me dis que ca y est, le niveau auquel je viens d'accéder ne me permettra plus jamais de redescendre parmis les pauvres mortels, je suis dans un autre monde, qui depasse toute conception physique.

Jusque la, on pourrait se dire "waw il s'est payé une sacré défonce le type".

Mais c'est loin d'être terminé.
Conscient du fait que je ne pourrais jamais redescendre sur terre, je dois me faire a l'idée que je suis resté kéblo, comme ces histoires de types qui ont tapé je sais pas quelle saloperie une fois, rien qu'une fois, et qui se sont retrouvés à l'HP.
Je commence a prendre conscience que ma vie telle que je l'avais vécue avant, jamais plus je ne pourrais y accéder a nouveau : je suis fou !
Ma vie telle que je la concois alors n'est plus qu'une illusion, je nage en plein délire, c'est un véritable CAUCHEMARD.

Je commence a me maudir d'avoir bouffé cette saloperie, je n'arrive pas a me faire a l'idée que ca y est, je suis fou et plus jamais je ne pourrais redevenir commme avant. Je marche, je crie, je hurle en pleine rue, je m'insulte, je me frappe, je deviens completement hystérique.

Et la solution m'aparait soudain claire, evidente, comment ne pas y avoir pensé plus tot : le seul moyen de faire cesser ce cauchemard, c'est de me foutre en l'air.
Par chance (nottez le ton ironique) j'ai les clefs de ma voiture, ou plutot de celle de ma mere dans la poche : sauvé, me dis-je, j'ai le moyen de mettre un terme a cette horreur.
Malgré tout, meme au plus fort de mon angoisse, je pense a ce que represente mon suicide, pour mes parents, pour les choses que j'avais prévu de faire plus tard. Seulement ces rares moments de lucidité sont noyés dans un flot d'incertitudes :
Rien de ce que j'ai vécu avant, etudes, parents, potes, n'est vrai.
Alors apres tout pourquoi avoir peur d'arreter la, maintenant.
Soulagé d'avoir trouvé une potentielle issue de secours, je cours vers la voiture, vers la liberation, vers le moment ultime : je vais enfin savoir l'effet que procure la mort !

Je monte dans la voiture, allume le contact, marche arriere, marche avant et vingt metres plus loins dans le mur.
Je sors, des gens autour de moi me parlent je les entends me dire que ca y est, je suis dans le monde réel, le vrai monde tel que personne ne peut le connaitre.
Toutes ces personnes qui sont autour de moi et qui s'occupent alors de moi (les pauvres ...) me parlent, ou est ce mon esprit qui les fait parler a leur place : ils me disent que ca y est j'y suis, j'ai compris, que maintenant que je sais, tout va bien se passer, il va juste falloir que je m'habitue a ma nouvelle existence.
Bien evidemment, en realité, les pauvres devaient etre terrifiés, surtout qu'entre temps, vu que j'avais gaché ma seule possibilité de mettre fin a ma vie en plantant la caisse, je me suis eclaté la tronche contre une barriere en fer (
putain de cicatrice d'ailleurs) et je me suis jetté par dessus le pont direct dans la riviere.

Donc me voila, couvert de sang, trempé et gelé comme une merde, redecouvrant la vie.
Des moments d'angoisse succèdent des moments d'une incroyable sereineté: j'aime les gens qui m'entourent, qui accompagnent mon arrivée dans ce nouveau monde, puis je les hais (d'ailleurs, grosse question : est ce que j'ai mis un coup de baton a un type ?).
Je tiens d'ailleurs a remercier une certaine marie (les autres aussi, je ne sais plus leur nom) qui essayait tant bien que mal de me rassurer.
Grosse incompréhension en ce sens que je me coyai libéré de ma contrainte corporelle, et pourtant je ressentait le froid qui me congelait litéralement: étais-je reellement reduit a mon simple esprit, ou est ce que mon corps avait encore une importance pour moi ?

Toujours est-il que ma seule preocupation a été de me rechauffer, et fatalement je me suis dirigé vers la salle.
Etant encore dans mon monde imaginaire, tous les gens qui m'entouraient a present dans le hall faisaient egalement partie de cet univers, univers dans lequel les gestes n'avaient plus aucune importance.
J'ai craqué, j'ai essayé de rentrer dans les vigiles, j'ai frappé un type (sincèrement désolé), puis je me suis affalé par terre et les gens m'ont couvert de leurs vetements.

Le plus horrrible dans tout ca, c'est que je voulais malgré tout redescendre, et j'étais persuadé que tous les gens autour de moi s'y opposaient, et faisaient tout pour m'en empecher : grosse crise de paranoïa, l'impression de nager dans un bordel dont jamais je ne pourrai me tirer. Et enfin quelqu'un se décide a m'amener aux urgences.

A partir de la je suis descendu petit a petit, meme si pendant les 2 ou 3 premieres heures qui j'y ai passé j'étais d'une part persuadé de rester kéblo a vie, et d'autre part que tout ce qui se passait sous mes yeux n'était qu'illusion.
Je pensai me reveiller un jour, peut etre 2,3 jours, 1 moi plus tard, dans un lit a l'HP, condamné a vivre comme ca jusqu'a la fin.

Voila apres j'ai fini par redescendre completement, meme si les effets du trip m'ont duré jusqu'a 17-18h, mais le bad trip était passé, je m'en étais sorti !

Je vous fais cadeau des 10 heures de bad trip qui ont suivi ma descente, remise en question enorme qui ne concerne que moi.

Alors voila tout ca pour dire quoi ? Ne prennez jamais de LSD !

Je n'en étais pas a me premiere prise, pas a ma centieme non plus, mais quand le bad trip arrive, TU PEUX RIEN FAIRE !!!

J'insite vraiment j'espere que mon histoire va vous toucher, parce que c'est traumatisant, j'aurais pu mourir, ou meme tuer quelqu'un en voiture.
Et pourtant j'avais deja entendu des temoignages des gens qui ont connu des bad trip, je trouvais ca horrible, et en meme temps je n'y croyai pas une seconde.
Dans ma tete y'avait toujours moyen de controler.
[b]Mais non un bad trip c'est incontrolable tu perds pieds totalement C'EST INCONTROLABLE.

Alors voila j'ai 20 ans j'ai failli crever hier, et vraiment mais vraiment ceux qui liront ce post faites gaffe a vous NE TOUCHEZ PAS A CA !

Nico.
 

[/citation]


J'ai vécu moi aussi à 2 reprises presque le même bad trip, j'ai aussi pensé au suicide sur le moment. Je vous cite que le premier bad car c'était le plus hard...:
Y a maintenant 8 ans, accidentellement, je me suis envoyé 2 Panoramix double goutte 400  (collé l'un à l'autre, j'avais pas vu tout de suite), c'était en fin de teuf juste pour me donner du courage pour le chemin du retour jusqu'à chez moi, j'avoute que j'avais déjà accomplis un long cursus acidien auparavant, donc ce n'était pas les premier loin de là.
Arrivé chez moi, je m'étends sur mon lit, j'écoutai de la musique et rien ne me satisfaisait, c'était inécoutable, les sons s'étiraient par à coup de l'aigue jusqu'au grave et inversément et je n'écoutais pas de la TranceSmiley. Je commencai à perdre le fils de la réalité, comme si je revivais une de mes vies antérieurs ou que qqu chose me transmettait une histoire que je croyais connaître. Cette hsitoire me terrifiait; ça se passait au moyen Age et y'avait un chevalier qui combatattait une espèce de diable, ce chevalier demandait de l'aide à une entitée positive genre ange avec un nom spécifique qui n'arrêtait pas de retentir dans mon esprit, et tout ça passait en boucle, je précise qu'à l'époque je n'avais aucune spiritualité et j'étais assez raionnel.
Fallait que je retrouve la réalité et pour ça je me mettais à me parler à haute voix car ma voix me rassurait, fallait que je voie des gens, je ne pouvais plus rester tout seul. Tout d'un coup, une odeur bizarre m'envahis, ça s'apparentait à un mélange d'une odeur de bruler et de poivre, en même temps il apparut un ptit diablotin ricannant de me voir souffrir et complètement à l'ouest.
En synchronisité avec ces ricanements et les sons alentours, une douleur venant de l'intérieur de mes entrailles se fit sentir, j'avais l'impression que qqu chose essorait mes tripes dans un mouvement régulier. Je tentai de sortir à 3 reprise de chez moi pour prendre un taxi et me rendre chez une copine, à chaque fois j'avais oublié de mettre, mon pantalon, mes chaussures ou ma veste, et dans le taxi, je ne savais plus l'adresse et ou je devais me rendre, c'était le bordel.
Bref, l'effet du trip à duré 3 jours, et les séquelles plusieurs années, je prit pendant pas mal de temps des antianxiolitiques et antidépresseur, jusqu'au jour où je fis un travail sur moi-même pour me confronté à mes phobies en les revivant et en les acceptant. Physiquement mon foie et mes dents ont aussi beaucoup souffert, pas à travers cette expérience là mais  par l'accumulation de buvards et autres drogues ingurgités.
L'illumination existentielle de ce trip était mi au second plan dans cette histoire, je comprend que Nico, après coup, aie ces propos sur le LSD, moi je ne souhaitais même pas cette expérience à mon pire ennemis. Maintenant, je relativise, c'étais une expérience à faire et qqu part je ne la regrette pas car elle a participé à ce que je suis actuellement.
sanandha wrote :


J'ai vécu moi aussi à 2 reprises presque le même bad trip, j'ai aussi pensé au suicide sur le moment. Je vous cite que le premier bad car c'était le plus hard...:
Y a maintenant 8 ans, accidentellement, je me suis envoyé 2 Panoramix double goutte 400  (collé l'un à l'autre, j'avais pas vu tout de suite), c'était en fin de teuf juste pour me donner du courage pour le chemin du retour jusqu'à chez moi, j'avoute que j'avais déjà accomplis un long cursus acidien auparavant, donc ce n'était pas les premier loin de là.
Arrivé chez moi, je m'étant sur mon lit, j'écoutai de la musique et rien ne me satisfaisait, c'était inécoutable, les sons s'étiraient par à coup de l'aigue jusqu'au grave et inversément et je n'écoutais pas de la TranceSmiley. Je commencai à perdre le fils de la réalité, comme si je revivais une de mes vies antérieurs ou que qqu chose me transmettait une histoire que je croyais connaître. Cette hsitoire me terrifiait; ça se passait au moyen Age et y'avait un chevalier qui combatattait une espèce de diable, ce chevalier demandait de l'aide à une entitée positive genre ange avec un nom spécifique qui n'arrêtait pas de retentir dans mon esprit, et tout ça passait en boucle, je précise qu'à l'époque je n'avais aucune spiritualité et j'étais assez raionnel.
Fallait que je retrouve la réalité et pour ça je me mettais à me parler à haute voix car ma voix me rassurait, fallait que je voie des gens, je ne pouvais plus rester tout seul. Tout d'un coup, une odeur bizarre m'envahis, ça s'apparentait à un mélange d'une odeur de bruler et de poivre, en même temps il apparut un ptit diablotin ricannant de me voir souffrir et complètement à l'ouest.
En synchronisité avec ces ricanements et les sons alentours, une douleur venant de l'intérieur de mes entrailles se fit sentir, j'avais l'impression que qqu chose essorait mes tripes dans un mouvement régulier. Je tentai de sortir à 3 reprise de chez moi pour prendre un taxi et me rendre chez une copine, à chaque fois j'avais oublié de mettre, mon pantalon, mes chaussures ou ma veste, et dans le taxi, je ne savais plus l'adresse et ou je devais me rendre, c'était le bordel.
Bref, l'effet du trip à duré 3 jours, et les séquelles plusieurs années, je prit pendant pas mal de temps des antianxiolitiques et antidépresseur, jusqu'au jour où je fis un travail sur moi-même pour me confronté à mes phobies en les revivant et en les acceptant. Physiquement mon foie et mes dents ont aussi beaucoup souffert, pas à travers cette expérience là mais  par l'accumulation de buvards et autres drogues ingurgités.
L'illumination existentielle de ce trip était mi au second plan dans cette histoire, je comprend que Nico, après coup, aie ces propos sur le LSD, moi je ne souhaitais même pas cette expérience à mon pire ennemis. Maintenant, je relativise, c'étais une expérience à faire et qqu part je ne la regrette pas car elle a participé à ce que je suis actuellement.



loool
psychotrop wrote :



loool


Ben quoi??

C'était chose courante pour moi à  l'époque Smiley
Pareil, avec un pot de nutella gobé en entier...v'la le bad trip dans les chiottes...
y a des barbares quand meme !!!! .... Smiley


je plaisante bien sur....
j'ai jamais eu de vrai bad trip de ce genre mais celui qui a été le dernier, je n'arrivais plus à reconnecter avec la réalité, je ne pouvais ni parler ni dormir ni manger, je ne me rappelais plus qui j'étais, ce que je faisais là (à Kathmandu); Finalement après 48 h m'a t'on dit; quelqu'un m'a fait fumer de la blanche et ça m'a permis de dormir, et au réveil de me reconnaitre! j'ai mis aussi du temps à revenir et je n'ai jamis plus pris de trip chimique depuis! mais je ne nie pas que j'ai eu des trip fabuleux avant qui m'ont bien débloqué la tronche!
boudhinette wrote :
j'ai jamais eu de vrai bad trip de ce genre mais celui qui a été le dernier, je n'arrivais plus à reconnecter avec la réalité, je ne pouvais ni parler ni dormir ni manger, je ne me rappelais plus qui j'étais, ce que je faisais là (à Kathmandu); Finalement après 48 h m'a t'on dit; quelqu'un m'a fait fumer de la blanche et ça m'a permis de dormir, et au réveil de me reconnaitre! j'ai mis aussi du temps à revenir et je n'ai jamis plus pris de trip chimique depuis! mais je ne nie pas que j'ai eu des trip fabuleux avant qui m'ont bien débloqué la tronche!


Oui je connais... ça m'est arrivé une fois même de perdre connaissance et de me réveiller en ne savant plus qui j'étais, où j'étais... heureusement après 10 min. ma mémoire est revenue. Par contre sous champi ou autres cactus, je n'ai jamais fait de bad.

Si je dois un jour réitéré une expérience avec un produit psychedelique, ce sera uniquement à des fins de développement personnel et plu pour rigoler, dans le cadre d'une innitiation à l'Ayawaska ou à l'Iboga sérieusement entouré par un shaman ou autres innitiés accomplis.

..fini de faire n'importe quoi, n'importe comment!
sanandha wrote :


Oui je connais... ça m'est arrivé une fois même de perdre connaissance et de me réveiller en ne savant plus qui j'étais, où j'étais... heureusement après 10 min. ma mémoire est revenue. Par contre sous champi ou autres cactus, je n'ai jamais fait de bad.

Si je dois un jour réitéré une expérience avec un produit psychedelique, ce sera uniquement à des fins de développement personnel et plu pour rigoler, dans le cadre d'une innitiation à l'Ayawaska ou à l'Iboga sérieusement entouré par un shaman ou autres innitiés accomplis.

..fini de faire n'importe quoi, n'importe comment!

+1
PÂTE FIMO - ( A BANNIR !!! )
La pâte Fimo contient des produits chimiques notamment des phtalates, très controversés à l'heure actuelle. Les phtalates, dérivés de produits pétroliers, sont en effet suspectés d'entraîner, entre autres, des troubles de la fertilité ainsi que des dysfonctionnements du foie et de la thyroïde.
La pâte Fimo ne devrait jamais être utilisée ni comme écarteur d'oreille, ni comme bijou final.
De plus, la pâte Fimo contient du PVC.
Le plomb dont on connaît les effets toxiques sur l'organisme est parfois utilisé comme aditif dans la composition du PVC.
Même le fait de l'isoler avec un vernis ne vous protège pas.
Je vois beaucoup de gens dans la rue porter ce type de bijou aux oreilles, certes c'est pas cher et très joli mais ces composants se diffusent petit à petit dans l'organisme et l'on se sait pas ce que ça peut faire à long terme.

http://www.tarawa.com/forums/lofiversion/index.php/t1524-50.html

Citation :

Euridice
Jun 6 2004, 01:45 PM
Je deconseille l'utilisation de la pate Fimo pour les Plugs: en effet, la pate est extremement toxique et si elle est en contact directe des muqueuses ou autre, elle peut engendrer des infections et/ou des allergies...

http://www.aroeven-bordeaux.fr/anims/activites/fiches/FIMO.pdf

Utilisation avec le groupe d'enfants :
......
La pâte est toxique : Faîtes-leur laver les mains en fin de scéance (pas de toutpetits
Dans le groupe : ils pourraient avaler des bouts).

http://www.passion-figurine.com/index.php?NUM=4

2. Comment fonctionne la pâte Fimo ?
La pâte Fimo se présente sous la forme d'une pâte mole que l’on peut ainsi modeler à loisir. Une fois le travail terminé, on peut la durcire en la passant au four (130°, Thermostat 4) durant une vingtaine de minutes. Cette faculté à durcire rapidement permet de travailler étape par étape en appliquant très peu de pâte à chaque fois. Attention, lors de la cuisson, la Fimo dégage des vapeurs toxiques, il est donc préférable de nettoyer son four après usage.

http://forum.lixium.fr/cgi-bin/v.eur?5843631

Alors la pâte fimo n'est pas cancerigène, mais est composé de produit toxique pour le corps humain ceci dit tu ne risque rien si tu ne l'utilise pas sur une plaie ou dans la bouche (piercing langue etc..) ceci dit attention au ecarteur, il vaut mieux utilser des plug ou autre bijou tretching après la cicatrisation, l'ecartement ayant été fait en bonne et due forme chez un perceur. Meme si bcp n'ont pas de problème avec un piercing fait avrc des objet sterile et un bijou en matière qui ne favorise pas la proliferation de bacterie et matière toxique, tu reduira le risque d'infection et d'irrritation presente et future.

http://www.cs-renelevesque.qc.ca/primaire/fimo/page3.html

Consignes de sécurité

Ne pas mettre le matériel à la bouche. Ne pas excéder une température maximum de 130°C, autrement des gaz malsains peuvent être produits. Ne pas excéder un temps de durcissement de 30 minutes. Le processus de durcissement ne fait pas partie du jeu et doit être surveillé par un adulte. Ne pas utiliser le four à micro-ondes. Tenir les enfants au-dessous de 8 ans et les animaux à l’écart de l’endroit de travail. Garder et conserver les jouets hors d’atteinte des petits enfants. Laver les mains après avoir fini les travaux. Nettoyer les ustensiles après usage. Ne pas manger, boire ou fumer à l’endroit de travail.

Informations de premier secours

En cas de surchauffe et d’inhalation de gaz toxiques par méprise : mettre la personne au grand air et chercher immédiatement secours et soins médicaux. Prendre le matériel et le récipient avec soin