no drugs?

zanoni wrote :


ils aspirent le cerveau des humains drogués

l'andorphine y a que ca de vrai moi j'dis !
zanoni wrote :


ils aspirent le cerveau des humains drogués


ah les rapaces!
Bah ouais le cerveau des femmes produit meme de la DMT lors de l'orgasme, ils ont tous compris ces Aliens!
c'est quoi l'orgasme?
Et bien, on a de la ressource!!! Smiley
ça sent mauvais!
LIPO wrote :
c'est quoi l'orgasme?

ca dépend...
simulé ou non ?
c'est vrai que j'aurais pas appelé ca la ptite mort.....c'est un peu glauque....surtout pour parler du paradis....k'on l'atteigne avec le son ou avec le sexe ou la drogue.....moi, j'vois tout en arc en ciel!!!

  Mais bon, ce ke j'en dis..... Smiley

   Chakun sa life!!!
simulé of course!
avec un bon scenario et plein de figurants
karoten wrote :
c'est vrai que j'aurais pas appelé ca la ptite mort.....c'est un peu glauque....surtout pour parler du paradis....k'on l'atteigne avec le son ou avec le sexe ou la drogue.....moi, j'vois tout en arc en ciel!!!

  Mais bon, ce ke j'en dis..... Smiley

   Chakun sa life!!!

ben vi mais c'est pas de nous la petite mort Smiley

c'est du a un certain Georges Bataille qui utilise ce terme dans un roman “Madame Edwarda”.
Cette analogie peut être expliquée par le fait que l’orgasme est une suspension provisoire du manque et du désir, comme la mort qui abolit toutes les tensions de la vie.

Depuis ca a été repris pour les toxicomanes... pour désigner leur état exaltique.
ben vi mais c'est pas de nous la petite mort Smiley

c'est du a un certain Georges Bataille qui utilise ce terme dans un roman “Madame Edwarda”.
Cette analogie peut être expliquée par le fait que l’orgasme est une suspension provisoire du manque et du désir, comme la mort qui abolit toutes les tensions de la vie.

Depuis ca a été repris pour les toxicomanes... pour désigner leur état exaltique.

Merci JustVanessa pour cet info très littéraire.... ;-)

 Au fait, si le dico est préparation, voilà une expression qu'on peut y mettre.
Virgosound wrote :


alors la, MA tu m'impressionne Smiley  Smiley  Smiley

Bon sanandha and co, allez des actions bordels, Smiley

et béh ! Smiley  Smiley  Smiley
the kaa wrote :

C'est pas eux!! C'est les extraterrestres voyons!


Smiley  Smiley
the kaa wrote :

C'est pas eux!! C'est les extraterrestres voyons!

Smiley et s'est reparti pour un tour  Smiley
Bon reprenons Smiley                                                                                                     Qu’est-ce qui pousse les gens à commencer à prendre des drogues qui créent une dépendance ? Nous tous avons dans notre vie, des choses qui nous procurent un plaisir spécial, des choses dont nous voulons sans cesse renouveler l’expérience, des choses que nous aurions bien du mal à abandonner. Nous avons tous quelque chose qui nous tient. La seule différence, c’est que la drogue et les solvants (la colle) sont très nocifs physiquement et mentalement.

Chacun de nous aspire à une vie remplie, épanouie et qui nous apporte de la satisfaction. Un drogué recherche et trouve sa satisfaction dans la drogue. Mais cela se termine toujours en échec et souvent même par la mort. Dans notre monde mouvementé, il y a un nombre toujours croissant de gens qui se tournent vers le plaisir bref mais non moins intense que procurent les drogues dures comme la cocaïne et l’héroïne. Il est alors très difficile de faire marche arrière, une fois les premiers pas franchis vers les drogues. Les familles des drogués sont souvent témoins de la détérioration inexorable de la santé d’un être cher  et vivent en même temps la destruction du bien-être de leurs familles.

Irréalité

Les drogués ont besoin de changer complètement de vie. Ils ont besoin que quelqu’un les aide à changer, car seuls, ils n’ont pas les ressources nécessaires. Les choses que les drogués construisent autour d’eux pour croire, sentir et se donner un sentiment de sécurité sont basées sur le mensonge et l’irréalité et doivent être détruites. A leur place doit s’installer une façon de vivre qui leur permettra de résoudre les situations de conflit et les difficultés, et les aidera à grandir en maturité.

Nous vivons une époque où les gens sont traités comme s’ils ne valaient rien, et où ils se sentent rejetés par ce qu’ils voient autour d’eux. La majorité des consommateurs de drogues dures sont de êtres intelligents et sensibles. Leur point commun essentiel est leur sentiment de rejet- bien que d’autres éléments comme par exemple le fait d’être insatisfaits de la vie, de se sentir inutiles, d’être en constante rébellion soient aussi à considérer. Le plus difficile peut-être pour les drogués est de cesser de se sentir coupables non seulement de ce qu’ils se sont faits à eux-mêmes, mais coupables aussi de ce qu’ils on fait aux autres.

Disciplines de base

De nombreux toxicomanes adoptent des styles de vie égocentriques dès leur plus jeune âge. Ils ne veulent pas être responsables de leurs actions. Ils n’arrivent pas à se plier aux disciplines de base que bien d’autres apprennent tout à fait naturellement et acceptent sans aucun problème : avoir une vie disciplinée, persévérer, valoriser le travail honnête, utiliser son argent sagement, respecter les lois et leur obéir, considérer autrui. Vouloir ignore ces disciplines tend à rendre les gens continuellement irresponsables. La drogue peut devenir tout naturellement une simple option supplémentaire. Quand la vie exige trop ou n’offre que trop peu, il devient très difficile de résister à la drogue qui invite à basculer dans l’irréel, à s’absenter et à revenir.

Vision faussée

Pour finir, les drogués se créent une philosophie de vie qui justifie leur façon d’être, du moins dans leur propre esprit. Cette philosophie comprendra quelques-unes des idées suivantes :

   * Le monde nous doit la vie.
   * Le succès c’est d’obtenir quelque chose pour rien.
   * Il vaut mieux recevoir que donner.
   * La fin justifie les moyens.
   * Ce qui est à toi est à moi.
   * Ce qui est à toi m’appartient.
   * Ne fais pas confiance à quiconque qui a plus de 30 ans.

Ils finissent par être tellement convaincus de ce qu’ils pensent que la loi, l’ordre et l’autorité deviennent leur ennemi numéro un. La plupart de ces jeunes gens désirent ardemment le bonheur et la paix, mais ils se rendent compte généralement trop tard que leur « liberté » les a rendus « esclaves » et que leur rébellion les a détruits. Ils ont besoin d’apprendre ce qu’ils doivent faire au lieu de prendre de la drogue.

Apprendre une nouvelle façon de vivre, ou ne pas apprendre ? C’est une question de vie ou de mort. Heureusement, j’ai vu Dieu transformer assez de vies pour savoir qu’une nouvelle vie est une option tout à fait réelle.
the kaa wrote :
Bah ouais le cerveau des femmes produit meme de la DMT lors de l'orgasme, ils ont tous compris ces Aliens!

Smiley Au coeur de la propension à la foi, il y aurait ... la sérotonine, une substance qui, dans le cerveau, transmet l’information d’un neurone à l’autre".

Dans les années 90, des travaux avaient montré que la sérotonine pouvait provoquer des états similaires à ceux causés par les drogues psychédéliques (ex : le LSD) comme la modification de la perception, les hallucinations ou le sentiment de fusion avec le monde... "soit ni plus ni moins que les sensations que les mystiques disent éprouver au cours de leurs états extatiques". L’équipe suédoise de la neurobiologiste Jacqueline Borg a montré que plus le taux de sérotonine était élevé, plus la religiosité des sujets de son expérimentation était avérée. La scientifique conclut : "le système de production de sérotonine pourrait bien être vu comme l’une des bases biologiques de la croyance religieuse, même si le résultat de l’étude doit encore être précisé avec des travaux menés sur un panel de volontaires plus large."

Cerveau - Image sans rapport avec le texte
La sérotonine ne serait pas la seule "molécule de la foi". D’autres neurotransmetteurs pourraient jouer un rôle dans le sentiment religieux, comme les opioïdes : "les drogues opiacées, telles la morphine ou l’opium, qui mime les opioïdes naturellement secrétés par le cerveau, modifient les perceptions sensorielles".
Ainsi le "spirituel" aurait une origine purement chimique, donc matérialiste. L’esprit ramené à la matière et Dieu un simple éléphant rose.

D’autres recherches sur la structure du cerveau ont révélé une zone du cortex, le cortex pariétal supérieur qui fonctionne au ralenti lors du fameux sentiment de fusion mystique avec le monde. Ce rôle a été mis en évidence par le neurobiologiste Andrew Newberg lorsqu’il a analysé l’activation cérébrale de moines tibétains bouddhistes en état de méditation. Ce ne serait pas la seule zone du cerveau concernée. Les recherches du neurobiologiste américain Michael Persinger suggèrent "que la stimulation électromagnétique des lobes temporaux, ces aires localisées au niveau des tempes, déclencherait la sensation d’avoir à ses côtés une présence divine. Ces aires pourraient donc être impliquées dans l’aptitude à ressentir une présence divine."

Il ressort de ces travaux que l’homme paraît "programmé pour croire en Dieu". Notre cerveau est doté d’un mécanisme biologique et psychologique inné qui nous rend sensible à l’idée d’existences divines. D’autre part, "notre perception intuitive du réel étant innée, sa transgression par les croyances religieuses provoque une réaction émotionnelle forte". Dit autrement, par l’évocation de ces transgressions contredisant notre entendement, nous sommes amenés "à leur attribuer un pouvoir explicatif supérieur".
Image
@Pano 200, tu pourrais nous donner tes sources qd tu post tes articles man ça m'interesse ... Smiley
Smiley
franck Glyphcult wrote :
@Pano 200, tu pourrais nous donner tes sources qd tu post tes articles man ça m'interesse ... Smiley
Smiley

tape dans google Pourquoi Dieu ne disparaitra jamais Smiley
sanandha wrote :


Oui on peut aussi remplacer avec "plaisir", ce que je voulais souligner c'est que l'Amour (inconditionnel) en temps que tel n'a pas de polarité et n'est perceptible que si notre égo est écarté, car c'est un état de plénitude qui n'est pas généré par l'émotionnel contrairement au plaisir, à la souffrance et autres qui sont FMR et constament en alternance bipolaire.
Mais, il est sans doutes plus facile de consommer d'une manière anarchique, illusoire afin de d'étouffer ses souffrances plutôt que de faire un travail sur soi-même.
La résultante jaillit lorsque la drogue se transforme en un médicament de l'esprit et que lorsque on n'en a plus besoin cela veut dire que nous sommes guéri.


ce qui ma géné, c'est que tu qualifie l'Amour de dope et que tu dises que nous en manquons (on est en plein dans le point de vue de l'égo), alors que je crois plutôt que ce dont on a l'impression de manquer souvent, c'est la reconnaissance (que ce soit dans l'amour, le fric, le sport etc), tout simplement parce qu'on estime inconsciemment que l'on en a besoin (on est éduqué comme ça, mais je crois qu'elle n'est pas nécessaire, c'est une affaire à régler avec son égo[:duel]).  Smiley
panoramix 200 wrote :

tape dans google Pourquoi Dieu ne disparaitra jamais Smiley




La fusion "extatique" avec Dieu, n’est pas l’apanage des chrétiens. Les bouddhistes avec la méditation, et les soufis musulmans avec leurs transes connaissent les mêmes phénomènes. Des travaux récents de neurobiologistes font apparaître que le cerveau est structuré pour que l’homme adhère à l’idée du divin. "Au coeur de la propension à la foi, il y aurait ... la sérotonine, une substance qui, dans le cerveau, transmet l’information d’un neurone à l’autre".

Dans les années 90, des travaux avaient montré que la sérotonine pouvait provoquer des états similaires à ceux causés par les drogues psychédéliques (ex : le LSD) comme la modification de la perception, les hallucinations ou le sentiment de fusion avec le monde... "soit ni plus ni moins que les sensations que les mystiques disent éprouver au cours de leurs états extatiques". L’équipe suédoise de la neurobiologiste Jacqueline Borg a montré que plus le taux de sérotonine était élevé, plus la religiosité des sujets de son expérimentation était avérée. La scientifique conclut : "le système de production de sérotonine pourrait bien être vu comme l’une des bases biologiques de la croyance religieuse, même si le résultat de l’étude doit encore être précisé avec des travaux menés sur un panel de volontaires plus large."

y'a des volontaires  Smiley
jem.b wrote :




La fusion "extatique" avec Dieu, n’est pas l’apanage des chrétiens. Les bouddhistes avec la méditation, et les soufis musulmans avec leurs transes connaissent les mêmes phénomènes. Des travaux récents de neurobiologistes font apparaître que le cerveau est structuré pour que l’homme adhère à l’idée du divin. "Au coeur de la propension à la foi, il y aurait ... la sérotonine, une substance qui, dans le cerveau, transmet l’information d’un neurone à l’autre".

Dans les années 90, des travaux avaient montré que la sérotonine pouvait provoquer des états similaires à ceux causés par les drogues psychédéliques (ex : le LSD) comme la modification de la perception, les hallucinations ou le sentiment de fusion avec le monde... "soit ni plus ni moins que les sensations que les mystiques disent éprouver au cours de leurs états extatiques". L’équipe suédoise de la neurobiologiste Jacqueline Borg a montré que plus le taux de sérotonine était élevé, plus la religiosité des sujets de son expérimentation était avérée. La scientifique conclut : "le système de production de sérotonine pourrait bien être vu comme l’une des bases biologiques de la croyance religieuse, même si le résultat de l’étude doit encore être précisé avec des travaux menés sur un panel de volontaires plus large."

y'a des volontaires  Smiley


En faite ça veut dire que les athés on un disfonctionnement neurobiologique et c'est pour ça qu'il ne peuvent pas concevoir qu'il existerait une puissance supérieur !!! tout s'explque !!   Smiley   Smiley

Au sujet des non-croyants, il faudrait leur filer des antidépresseurs et le problème serait réglé....
lol
sanandha wrote :


En faite ça veut dire que les athés on un disfonctionnement neurobiologique et c'est pour ça qu'il ne peuvent pas concevoir qu'il existerait une puissance supérieur !!! tout s'explque !!   Smiley   Smiley

Au sujet des non-croyants, il faudrait leur filer des antidépresseurs et le problème serait réglé....


Smiley  Smiley
[:mdr]
panoramix 200 wrote :
L'usage d'une drogue résulte d'un besoin de "plaisir" , qui s'explique en partie par un désir de fuite . toute société impose des normes , des pressions ,( et ce de manière outrancière dans les sociétés capitalistes ) qui aliènent les individus . Face à cette opposition , il peut y avoir différents réponses , dont la violence , qui sera elle aussi réprimée et dans laquelle on ne peut pas vivre continuellement , et la fuite . La fuite prend différente forme : activités sportives , vie associatives , association militantes , drogues .



J'émettrai un gros bémol sur le "toute société impose des normes, des pressions qui aliènent les individus".
C'est ni les normes ni les pressions qui aliènent les individus, au contraire elles sont indispensables à son épanouissement et à son désir d'évolution. C'est la base de tout l'être humain d'être source d'énergie grace aux frustrations, et ce dès le plus jeune âge.

Sinon bon texte j'ai trouvé sur la personnalité des drogués.
Reyojuan wrote :



J'émettrai un gros bémol sur le "toute société impose des normes, des pressions qui aliènent les individus".
C'est ni les normes ni les pressions qui aliènent les individus, au contraire elles sont indispensables à son épanouissement et à son désir d'évolution. C'est la base de tout l'être humain d'être source d'énergie grace aux frustrations, et ce dès le plus jeune âge.

Sinon bon texte j'ai trouvé sur la personnalité des drogués.

mais de rien  Smiley
panoramix 200 wrote :
Smiley bon tu veux des infos en voilà                

Distribuées et consommées de façon clandestine, les drogues « illicites » (interdites par la loi !) peuvent avoir une origine naturelle ou synthétique, chimique.
Parmi les drogues illicites dites « douces », on compte :

- le THC (tétrahydrocannabinol) contenu dans le cannabis
- le LSD et les hallucinogènes d’origine végétale
- les amphétamines et l’ecstasy
- les drogues de synthèse comme le GHB




Smiley  Smiley  Smiley  Smiley  Smiley  Smiley  Smiley  Smiley  Smiley

Je sais pas d'où tu tire tes infos mais va falloir revoir ta copie... LSD, ecstasy et GHB drogues douces... Hum... Tu veux que je te fasses une description de ce qui se passe dans tes neurones quand tu prends du MD ? On va la faire simple et je te donne toutes les refs scientifiques que tu veux la dessus. Tes neurones explosent comme des bulles de savons (et vu que tu connais la sérotonine, ça a un rapport)... Et à long terme, disons quelques années, ça fait trés mal... Pour le GHB, j'en utilise au taf, et la boite de chimie qui me vend ça n'a pas marqué sur le flacon que c'était particulièrement doux (d'ailleurs, est-ce une drogue récréative ce truc ?). Pour le LSD, ya dix an on était 5 comme des oufs avec ça, c'était notre way of life... On est tous à un moment ou à un autre parti en couille à notre façon... Même si y en a qui gèrent les produits psy, c chaud dans la durée et je connais pas beaucoup de gonz de plus de 30 ans qui a un trip way of life.
Si c'est juste pour pas confondre avec les opiacées le doux... Smiley

Faut faire gaffe à ce qu'on dit sur ce forum.  Smiley
de toute façon en terme de santé publique, ce terme et la division "dure" et "douce" sont complètement obsolètes. on ne parle que de substances modifant le comportement, légales ou non, qui induisent ou non une dépendance physique. ils distinguent les
psychoanaleptiques (qui boostent l'esprit et le corps : amphet, cc)
psychodysleptiques (qui modifient les perceptions : tout prod hallucinogène, le cannabis, et aussi les empathogène : MD)
les psycho-sédatifs (opiacés, keta, anti dépresseurs, barbituriques, benzodiazépines)
l' addiction physique : c'est  qu'il y a saturation par le produit des récepteurs spécifiques et apparition du syndrome de manque à la privation
l'alcool
le tabac
les opiacés
la cc
mais faut pas croire, c'est parfois plus facile de sevrer pour une dépendance physique..
L'addiction psychique, selon la définiton de l'OMS c'est de vouloir de manière complusive prendre le prod encore et encore, et d'augemntaer les doses pour retrouver le même effet (symptome de "tolérance)
Les évaluations se font sur les dégats à court (risque aigu) moyen (dépendance, effets psychosociaux/familiaux) et long terme (sequelles), les études ne cherchent pas à décider quel prod est plus on moins dangereux, en fait ce n'est pas tellement la substance en elle même mais bien évidemment l'usage et la personnalité de l'usager qui créent les ravages..
de toute façon, faut pas se leurrer, on paye toujours un prix!
boudhinette wrote :
en fait ce n'est pas tellement la substance en elle même mais bien évidemment l'usage et la personnalité de l'usager qui créent les ravages..
de toute façon, faut pas se leurrer, on paye toujours un prix!


Merci de recadrer boudhinette! Smiley  bien sûr qu'on paye toujours un prix... et qque soit la dependance, qques soit le prod ...pour certains la note est salée = Abstinence totale à vie !!! Smiley  Smiley
Smiley  Smiley