no drugs?

c'est une plante sauvage...
"dissocier le bon grain de l'ivraie" est une formule pour exprimer que dans une culture il faut savoir supprimer les mauvaises herbes afin que la culture puisse s'epanouir
en fait ici loin de moi l'idée d'un sectarisme mais plutot d'une volonté de dissocier le vrai du faux, l'illusion de l'illumination, les drogues des sentiments sinceres

car il est vrai que les drogues ont le pouvoir de mettre en trance, maintenant il faut savoir que cette trance est illusoire et qu'il vaut mieux trouver des moyens plus veritables
lolivier wrote :


Une petite phrase pour tous les accrocs du LSD (dont je fus à une époque)

"le composant chimique essentiel de l’ivraie est le LSD..."  



Mais ça veut dire quoi ta petite phrase ??
que dans l'ivraie il y a  de l'acide lysergique diéthylamide autrement dit du lsd


j'exprimais en fait un sentiment qui est que le lsd est la mauvaise herbe (l'ivraie) du jardin, celle qu'il faut savoir mettre de coté, au risque que le jardin cultivé ne devienne une foret sauvage
lolivier wrote :
que dans l'ivraie il y a  de l'acide lysergique diéthylamide autrement dit du lsd


j'exprimais en fait un sentiment qui est que le lsd est la mauvaise herbe (l'ivraie) du jardin, celle qu'il faut savoir mettre de coté, au risque que le jardin cultivé ne devienne une foret sauvage


ça me fait plutôt penser à la parabole de Matthieu mais bon ...

Concernant ton sentiment, puisque sentiment, il doit peut être être un chouia trop lié à tes émotions pour apporter un avis objectif sur la question ... non ?

En tout cas en culture sans herbe dite mauvaise, l'équilibre biologique n'existerait pas et mon jardin potager serait bien monotone, sans grand caractère.
Il suffit de trouver un juste équilibre qui parfois prend un peu de temps, commettre quelques erreurs
expérimenter certaines combinaisons de plantations pour que parfois l'Ivraie ( au sens propre du terme) favorise la croissance
Tu vois c'est pas vrai ou faux, ni noir ni blanc .... des fois c'est Fluo  Smiley

En fait j'ai l'impression que depuis que j'ai arrêté le Round up et fait la paix avec les soit "disantes", médisantes  mauvaises herbes que  mon jardin cultivé devient de plus en plus magnifique d'années en années parce qu'il se joue de la diversité

Maintenant le soir j'ai même des citrouilles , des poireaux fluos et peut être même que l'année prochaine les poules vont s'y mettre ( Inch Allah  Smiley )
tu laisserais des fougeres au milieu de tes salades ?
hum....

quand à mon sentiment sur le sld, ca fait belle lurette que je l'ai depassé, il fut un temps ou j'en ai fait l'apologie pour ce qu'il m'avait apporté en terme d'ouverture à d'autres mondes, aujourd'hui je le vois plus comme un frein à une vraie pogression de l'esprit

m'enfn qui sait p'tete que dans dix ans j'me collerai une bonne gougoutte histoire de mettre le terrain qu'est mon esprit en friche
Heretik Erik wrote :


ça me fait plutôt penser à la parabole de Matthieu mais bon ...

Concernant ton sentiment, puisque sentiment, il doit peut être être un chouia trop lié à tes émotions pour apporter un avis objectif sur la question ... non ?

En tout cas en culture sans herbe dite mauvaise, l'équilibre biologique n'existerait pas et mon jardin potager serait bien monotone, sans grand caractère.
Il suffit de trouver un juste équilibre qui parfois prend un peu de temps, commettre quelques erreurs
expérimenter certaines combinaisons de plantations pour que parfois l'Ivraie ( au sens propre du terme) favorise la croissance
Tu vois c'est pas vrai ou faux, ni noir ni blanc .... des fois c'est Fluo  
Smiley

En fait j'ai l'impression que depuis que j'ai arrêté le Round up et fait la paix avec les soit "disantes", médisantes  mauvaises herbes que  mon jardin cultivé devient de plus en plus magnifique d'années en années parce qu'il se joue de la diversité

Maintenant le soir j'ai même des citrouilles , des poireaux fluos et peut être même que l'année prochaine les poules vont s'y mettre ( Inch Allah  Smiley )




mais ca j'adhere  Smiley
Z'avez tous les deux raison les p'tits loups! Smiley



Smiley
c est ca ouai!!
bande des trippés Smiley  Smiley  Smiley
dans un jardin (et je crois que le parallèle avec les substance est pas mal pertinent) il y a les affinités : les tomates bénéficient d'un plan de basilic à coté, tout le monde pousse mieux et ça évite les maladies, mais il y a aussi les ennemis : ne va pas mettre des oignons à coté de Pdt ils dépérissent
alors les associations, attention!
sinon pour les mauvaises herbes, et ben ça dépend des années, cet été il a beaucoup plu dans le sud, certaines mauvaises herbes comme le plantain ont carrément étouffé les autres plans! alors rester vigilant, voilà le mot d'ordre!
Et j'te jure si les poules d' Heretik,
retrouve mon trouseau de clè....
Cé bon!
je l'ai....

ps (change de poule, ...
merci
il n'y a pas de mauvaises herbes il n'y a que des herbes sauvages!!!
laissons à chacun le choix de gérer ses neurones comme il l'entend. et rappelons au passage que l'usage de drogues chez le genre humain remonte à plusieurs milliers d'années !!!
et la connerie aussi Smiley
secretlady wrote :
et la connerie aussi Smiley

la connerie remonte à bien plus loin que ça Smiley
Heretik Erik wrote :


Resistrance  ... tient ça me donne une idée de voir un peu l'origine des Pseudos  Smiley

Fallait pas regarder "Christianne F ...."

Putain t'es vachement flippant(e)
Demain j'arrête tout à la lecture de ce témoignage qui me donne froid dans le dos  Smiley
C'est ça la drogue ... beurk !!

Plus d'alcool, plus rien, plus un  Smiley
Même pas une t'ite pipe trankillou le soir, buvant un whisky et écoutant Simon Smiley
Plus un feu de cheminée l'hiver après la cueillette de champignons , la peau de bête disposée comme il se doit et la soupe à l'oignon de bon aloi .
Plus de vélo sur les routes sinueuses, les pic-nic le bord du ruisseau .

Toujours beaucoup de mal avec ce genre de discours moralisateur dénué de bon sens , limite réac ....  Smiley

PS : Fait attention à toi ... la moulinette est en marche  Smiley




Bas c'est mieux de dire que y a que du bon la dedans? par contre je parlais du coté excessif et jsuis d'accord avec toi que quand c'est metrisé dans des situations sympa comme tu site, ok, maintenant c'est mon cas de fumer un ptit (gros) oinj de weed avec une biere pour mixer par exemple....mais bon tu parles du truc bateau sympa, joli, poli ect ect et je trouvais important de parler des dangers de l'excess... Smiley ...et non je ne suis pas du tout moralisateur....et oui la moulinette fut en marche, j'ai rectifié le tire et jtrouve ta vision de la drogue un peu "bisounours" lol
résistance wrote :




Bas c'est mieux de dire que y a que du bon la dedans? par contre je parlais du coté excessif et j suis d'accord avec toi que quand c'est maîtrisé dans des situations sympa comme tu site, ok, maintenant c'est mon cas de fumer un ptit (gros) oinj de weed avec une biere pour mixer par exemple....mais bon tu parles du truc bateau sympa, joli, poli ect ect et je trouvais important de parler des dangers de l'excess... Smiley ...et non je ne suis pas du tout moralisateur....et oui la moulinette fut en marche, j'ai rectifié le tire et trouve ta vision de la drogue un peu "bisounours" lol


Ben continue donc de le rectifier ( le tire ) mais entre temps essaye d'assimiler certains concepts avant d'affirmer des contres vérités  Smiley
Enfin je dis ça ... je dis rien .
Interdire la drogue c'est aussi stupide que bruler des livres.
zanoni wrote :
Interdire la drogue c'est aussi stupide que bruler des livres.



les drogues, des livres a elles toutes seules, tres tres bien vu    Smiley

vivement les drogues genetiques Smiley
D'accord avec resistrance, personne ne contestera les effets bénéfiques potentiels des drogues, ce qui est emmerdant c'est bien sur les conséquences négatives et ça, ce n'est pas moralisateur juste réaliste.
surtout qu'il y aura toujours des cons pour croire le contraire ce croyant toujours au dessus de tout
lolivier wrote :



les drogues, des livres a elles toutes seules, tres tres bien vu    Smiley

vivement les drogues genetiques Smiley



Smiley elle est bonne celle la !
juste pour info ou/et rappel

La Drogue : que dit la loi ?

La réglementation française, conformément aux normes internationales, émise par l’Organisation Mondiale de la Santé et l’ONU a classifié les produits dangereux dans le code de la santé publique en 4 catégories :
- les substances stupéfiantes (ex. héroïne, cocaïne, ecstasy, cannabis, etc.)
- les substances psychotropes (anti-dépresseurs, tranquilisants, hypnotiques, etc.)
- certains autres médicaments
- les substances dangereuses (éther, acide, etc.)

La production, la distribution et l’usage de ces substances sont soit sévèrement réglementés, soit pour certains comme les stupéfiants totalement interdits, à l’exception de l’usage médical.
L’alcool et le tabac n’entrent pas dans cette classification : ils sont soumis à une réglementation particulière concernant notamment la distribution (vente aux mineurs, etc.), la publicité, les lieux de consommation et la conduite automobile.

La loi est une règle de conduite en société, votée par les représentants du peuple et qui s’impose à tous.

Protégeant l’individu et la société, elle se situe au carrefour de l’intérêt général et de la liberté individuelle. Elle délimite nos droits mais aussi nos devoirs. Elle peut ainsi interdire voire sanctionner certains actes dangereux ou préjudiciables à soi-même ou à la collectivité.

Appliquant ces principes, la loi sur les stupéfiants, en accord avec les conventions internationales ratifiées par la France, prend en compte les objectifs de santé publique et repose sur  trois grands axes : interdiction de l’usage ; alternative de soins à la sanction de l’usage ; répression du trafic et des profits à tous les niveaux.

Des propositions sont actuellement en cours pour modifier la loi du 31 décembre 1970.

L’usage de produits stupéfiants est interdit par l’article l 3421-1 du code de la santé publique qui prévoit des peines maximales d’un an d’emprisonnement et 3 750 euros d’amende.

Comme pour toutes les sanctions pénales, il s’agit de peines maximales et, dans la pratique, les magistrats conservent une grande marge d’appréciation. L’emprisonnement reste très exceptionnel.

En cas d’interpellation, le consommateur peut éviter la sanction pénale en acceptant une aide médicale, psychologique et sociale.
La justice dispose de larges possibilités d’alternatives aux poursuites ou à la sanction : classement avec avertissement, classement avec orientation vers le secteur sanitaire et social (médecins, psychologues, assistantes sociales, associations, etc.), injonction thérapeutique (obligation de se soigner).
Le procureur de la république peut appliquer, avec l’accord de la personne interpellée, la procédure de « composition pénale » qui évite le jugement : travail d’intérêt général, versement d’une amende, remise du permis de conduire, etc.
Par ailleurs, tout consommateur peut, par lui-même, demander une assistance médicale (entretien, consultation, hospitalisation, etc.) qui sera anonyme et gratuite.
Pour lutter contre le sida, les hépatites et d’autres maladies, des programmes d’échanges de seringues, des traitements de substitution (Subutex, Méthadone) et des structures d’accueil ont été mises en place.

La loi dans les autres pays européens

La quasi-totalité des pays interdisent la consommation des stupéfiants, soit directement comme la France, soit au travers de la « détention en vue de l’usage ». Les sanctions sont diverses selon les états, depuis l’amende administrative jusqu’à l’emprisonnement en passant par l’obligation conditionnelle de soins. Les Pays-Bas tolèrent la consommation et la possession de petites quantités de cannabis pour les majeurs ainsi que la vente dans certains lieux réglementés (le nombre des coffee-shops a été considérablement réduit ces dernières années).

Les choix propres à chaque pays sont liés à leur culture, à leur dispositif juridique, à leur capacité judiciaire ou de contrôle sanitaire et social, etc. C’est pourquoi, les options choisies ne sont pas toujours transposables d’un état à l’autre.

La provocation à l’usage ou au trafic de stupéfiants, par la publicité ou l’incitation ou la présentation sous un jour favorable des produits classés stupéfiants, (quel que soit le support choisi : vêtements, bijoux, livres, etc.) est puni de 5 ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende, même si l’incitation est restée sans effet (article L3421-4 du code de la santé publique). Les peines sont aggravées lorsque les mineurs sont visés (7 ans et 150 000 euros). L’un des buts de cette loi n’est pas d’éluder le débat sur la drogue mais d’éviter le développement d’un « marketing » de promotion des produits stupéfiants. La provocation au trafic est sanctionnée par une peine de 10 ans d’emprisonnement et de 300 000 euros d’amende.

La détention d’un produit stupéfiant est punie de 10 ans d’emprisonnement et 500 000 euros d’amende.
En pratique, les tribunaux tiennent compte de la quantité détenue et des circonstances de la détention (détenir une très petite quantité pour l’usage personnel est généralement assimilé à l’usage simple).

Le vendeur ou « dealer » qui vend, ou qui offre un produit stupéfiant (même en petite quantité et même à titre gratuit) à une personne, pour la consommation personnelle de celle-ci, encourt jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende.

Les peines sont doublées lorsque des stupéfiants sont vendus ou donnés à des mineurs ou dans l’enceinte des centres d’enseignement ou d’éducation.
Un usager qui vend ou qui « dépanne », même pour subvenir à ses propres besoins en drogue, peut être sanctionné comme dealer.
La loi punit comme complice du vendeur, le « guetteur », « le rabatteur » ou « l’intermédiaire » (ou tout autre forme de complicité) même s’il ne bénéficie d’aucune contrepartie en argent ou en nature.

Le trafic de stupéfiant d’une plus grande envergure est passible de très lourdes peines.
Ainsi, la production, la fabrication, l’importation, le transport, la vente, etc., de produits stupéfiants, exposent à des peines pouvant aller jusqu’à 10, 20 ou 30 ans de prison selon le cas et à 7 500 000 euros d’amende (et plus encore : réclusion criminelle à perpétuité dans le cas, par exemple, où les faits sont commis en bande organisée).

Le blanchiment de l’argent du trafic de stupéfiant en capitaux d’apparence légale, fait en connaissance de cause est puni de 10 ans d’emprisonnement et 7 50 000 euros d’amende.

Celui qui s’enrichit illégalement grâce au trafic et ne peut justifier de ressources correspondant à son train de vie (voitures, voyages, sorties, etc.) et qui, sans trafiquer lui-même, est en relation habituelle avec un trafiquant ou des usagers de produits stupéfiants, risque une peine maximale de 5 ans d’emprisonnement et 750 000 euros d’amende, sauf à justifier de la légalité de ses ressources (article 222-39-1 visant le « proxénétisme de la drogue »).

La loi punit aussi les professionnels qui facilitent ou tolèrent un usage ou un trafic de stupéfiants. Par exemple : les médecins ou les pharmaciens qui prescrivent ou délivrent ces produits sans respecter les règles légales (ceux qui obtiennent des stupéfiants avec des fausses ordonnances sont également punissables) ; les responsables de bar ou de discothèques qui laissent se commettre des infractions à la législation sur les stupéfiants (trafic ou consommation) dans leurs établissements.

Toutes ces peines peuvent être assorties de confiscation mobilière ou immobilière, de l’interdiction de séjour, de l’interdiction du territoire pour les étrangers ainsi que d’autres interdictions administratives (gérer un débit de boissons, détenir une arme, etc.).

Pour l’usage de stupéfiants, la garde à vue est de 24 heures et peut être prolongée également de 24 heures avec l’autorisation du procureur de la république. Pour le trafic, la garde à vue peut durer 4 jours sur autorisation des magistrats. Dans les deux cas, l’examen médical est obligatoire ainsi que l’intervention d’un avocat.

En France, comme dans la plupart des pays, la vente et la consommation d’alcool et de tabac (dont les mécanismes sur l’organisme peuvent être apparentés aux drogues) ne sont pas interdites mais réglementées (notamment alcool au volant, tabac dans les lieux publics, interdiction de délivrance aux mineurs, etc.).

S’agissant de produits devenus culturels dans notre société, une interdiction pure et simple serait inopérante (échec de la prohibition aux Etats-Unis) alors qu’une telle interdiction contribue à ne pas cautionner et banaliser l’usage de produits stupéfiants.


Source >> Ministère de l'intérieur

Après je pars du principe que tout ce qui est interdit est plus attrayant, interdisez à vos enfants de sortir le samedi soir, ils feront le mur avec tous les risques et conséquences que cela implique...

Tirée du film "A l'épreuve du feu"....."Ce n'est pas les conneries qui craignent mais leurs conséquences"

On a retrouvé des traces de préparations psychoactives datant des premiers hommes, cela n'est pas nouveau, l'homme a de tout temps eu besoin de connaitre ses limites et explorer le non concret (spirituel, virtuel) donc je suis pour une éducation et de la prévention plutot qu'une criminalisation et répression.

Pour finir (je l'ai déjà dit mais je le répète) tout est drogue pour l'humain, tout est une question de dose et je pense que le danger est là quand la consommation se fait quotidiennement et/ou de manière automatique, quelle que soit la substance. Nos sociétés modernes ont un danger, le non accompagnement du consommateur (à part quand il est trop tard et qu'il s'est bousillé la gueule), elle culpabilise, marginalise celui qui souhaite en savoir plus...au lieu de ça, dans les tribus anciennes quelque soit le continent, le "débutant" était accompagné par un guide expérimenté...

De toute façon le sujet est vaste, car on pourrait aussi se poser la question de savoir pourquoi l'homme recourt a autant de drogues dite "récréatives", un nom bien attirant pour un jeune soi dit en passant.

Allez vive les plaisirs simples, la nature, l'amour et la bouffe, tiens j'mangerai bien du chocolat  :mickey:
De rien mec Smiley
the kaa wrote :
Image

http://www.alcooliques-anonymes.fr

Smiley


Le programme en 12 étapes des AA sur quoi il repose :
2 étapes fondamentales base de tout le rétablissment

1. "je suis impuissant devant l'alcool" (je ne peux pas maitriser ma conso = allez reprends en un 2ème etc. ad vitam eterna! Smiley )
... "j'ai finis par perdre la maitrise de ma vie" (si jamais je l'ai eu un jour, parce que trop à l'ouest tout le temps, sous l'emprise de l'alcool et des prods)
résultat : abstinence totale et continue, la "santé" et la vie est à ce prix !

2. "j'en suis venu à croire qu'une puissance supérieure à moi même pouvait me rendre la raison"
le groupe fort de son expérience peut m'aider à résoudre toutes les difficultés que je rencontre en tant qu'alcoolique pratiquant ou abstinent, à condition que je fasse preuve de rigoureuse honêteté et surtout de bonne volonté.
Smiley
"Allez vive les plaisirs simples, la nature, l'amour et la bouffe, tiens j'mangerai bien du chocolat"  :mickey:

mais c deja une drogue ça!!!!!! Smiley
@ btr: d'où le  :mickey:


 lol
CPE/CNE on est pas politik
lol